Brat

2.2K 71 6
                                    

J'étais engagé sur cette route de campagne, je devais me garer. Elle était réveillée, je l'avais vue dans le rétro intérieur, il fallait que je goûte à sa bouche autour de ma queue.

Je trouve enfin un petit bois tranquille, je n'étais pas loin de chez moi.

Je me gare et sors de la voiture, j'attrape un couteau dans ma poche intérieure, puis la sors du véhicule, je détache juste ses pieds, ce sera plus simple pour elle de prendre ma queue. Je lui enleve le bandeau qui recouvrait ses yeux.
Elle me regardait les sourcils froncés, étrangement calme, mais je ne pouvais pas résister plus longtemps, avec ses yeux qui me fusillent.

Son regard est rivé sur moi, elle ne pouvait voir que mes yeux au travers de la cagoule.

- Je vais t'enlever le bâillon, tu peux essayer de crier, mais comme tu le vois, nous sommes au milieu de nulle part, n'essaye pas non plus de t'enfuir, je te rattraperais, et comme punition, je te briserai les jambes.

Elle me regardait sans ciller.

- Hoche la tête si tu as compris.

Puis, enfin secoue la tête d'avant en arrière en laissant ses larmes couler.

Je me penche au-dessus d'elle en lui tirant la tête en arrière à l'aide de ses cheveux.

- Bonne fille.

Retirant le bâillon que je jette au sol, je finis par sortir mon pénis. Ses yeux s'ouvrirent en grand de stupeur. Elle commence à se débattre. Mais j'avais toujours sa chevelure dans les mains.

Je souris sous cette tentation, je vins pincer son nez pour l'obliger à respirer par la bouche, et au moment où elle le fera, j'y enfoncerais ma queue. Elle résistait, serait-elle prête à perdre de nouveau connaissance pour ne pas l'avoir dans la bouche ?

- Ouvre la bouche salope, sache que plus tu prendras du temps à le faire, plus je vais faire en sorte de faire durer mon plaisir, en te lacérant le visage.

Je perdais patience, saisissant la lame, je la passe lentement sur sa joue en appuyant avec force, ça lui laissera forcément une cicatrice. Elle gémit de douleur. Le sang commença à jaillir de la plaie.

Sa bouche était entrouverte, j'y glissai mon pouce pour lui ouvrir plus grand en appuyant à l'intérieur. Je pus enfin y enfoncer ma bite.

- Mords-la et je te crève les yeux.
Des larmes dévalaient son visage alors que j'entamais des va-et-vient au fond de sa gorge.

Putain, c'est trop bon !

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant