J'appuie sur les différents boutons dans la voiture, et un mécanisme discret s'active : une porte s'ouvre avec un léger clic. Je fais descendre la femme du véhicule et referme la porte derrière nous. Je jette un dernier regard au rétroviseur intérieur ; ses yeux sont fixés devant elle, son visage pâle et déformé par la peur.— Bienvenue dans ta cage dorée, petit chiot, murmuré-je avec un sourire cruel.
Je descends de la voiture et ouvre la portière arrière, la saisissant par le bras pour la faire sortir. Nous nous dirigeons vers un ascenseur, qui descend encore d'un niveau. L'atmosphère est lourde, le silence seulement interrompu par le bruit de nos pas résonnant dans le couloir impeccablement nettoyé et faiblement éclairé.
— P... Pourquoi m'avez-vous enlevée ? bégaye-t-elle, sa voix tremblante trahissant sa terreur.
Je la regarde brièvement, ses yeux écarquillés cherchent désespérément des réponses. Mais je ne dis rien et reporte mon attention sur la porte de l'ascenseur qui s'ouvre avec un bruit métallique. La pièce qui s'offre à nous est parfaitement aménagée pour son nouveau rôle. Elle est dotée d'une cage en métal flambant neuve, et tout autour est immaculé, comme si chaque détail avait été soigneusement planifié.
— Avance, salope. Tu n'es pas autorisée à parler, ordonné-je d'un ton impérieux.
Nous pénétrons dans la pièce, dont chaque élément a été conçu pour renforcer l'humiliation et la soumission. La cage est spacieuse, équipée de gamelles en acier inoxydable, et le sol est recouvert d'un tapis anti-dérapant de haute qualité. Tout semble neuf et fonctionnel, l'aménagement parfait pour ce que j'ai prévu.
Je la détache de ses liens, tout en observant avec une satisfaction froide la pièce soigneusement aménagée. Mon manque de sommeil des derniers jours me frustre, mais je sais qu'un bon repos est essentiel pour ne pas compromettre l'efficacité de mon plan. Je dois rester concentré pour éviter de briser mon jouet trop tôt.
Je sors un couteau de ma poche intérieure et le fais légèrement briller sous la lumière.
— Rentre dans cette cage !
Elle reste immobile, figée par la peur. Son regard parcourt la cage et la pièce autour d'elle, comprenant lentement l'ampleur de sa situation.
La cage est parfaitement adaptée à sa taille, ses dimensions permettant de renforcer son humiliation tout en garantissant son confort. Je me sens de plus en plus excité à l'idée de la voir se soumettre.
— Ne me fais pas répéter, chienne.
Je la saisis par les cheveux, la pousse à l'intérieur de la cage et ferme la grille avec un bruit sec. Le cadenas claque, scellant son emprisonnement. La cage est équipée de caméras haute définition, permettant une surveillance constante de chaque angle.
— J'espère que ta nouvelle chambre te plaît. Nous allons bien nous amuser, enfin surtout moi !
Je ris sinistrement en sortant. Les caméras fonctionnent parfaitement, chaque angle de la cage est couvert pour que je puisse observer chacune de ses réactions. J'ai pris soin de me débarrasser de son téléphone pour éviter qu'elle ne puisse contacter qui que ce soit.
Elle m'appartient désormais, et rien ni personne ne pourra me l'enlever. Mon esprit se met déjà à planifier les prochaines étapes, tandis que je m'éloigne, laissant derrière moi le cliquetis de la cage et la lueur froide des caméras surveillant ma nouvelle acquisition.
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Obsessive Control [sous contrat d'édition ]
Romance🦋 EN RÉÉCRITURE 🦋 Elle se réveilla dans l'obscurité, allongée sur une banquette arrière. Le cuir froid contre sa peau et l'odeur métallique du sang séché étaient troublants. À qui appartenait cet endroit devenu sa prison ? Ses poignets étaient sol...