Appearance

971 42 8
                                    



J'étais devant cette glace à me regarder, j'avais une cicatrice désormais sur la joue.

La même qu'elle, nous étions faits pour être ensemble.

Je connais tout d'elle, est-ce qu'il restait des choses à découvrir certainement.

Elle m'avait surpris plus tôt, je ne m'attendais pas à ce qu'elle réagisse de la sorte sous aphrodisiaque.

On aurait dit une tout autre personne.

J'avais aimé voir ce nouveau visage. Je désirais encore le revoir.

Cette folie sexuelle que tu ressentais pour moi.

Oh Aris, tout chez toi me rend accro.

Est-ce qu'elle allais détester ce que je venais de faire, ça ne changeait pas beaucoup, mais ça commençais à me déranger donc il fallait, que je diminue tout ça.

En fait, c'était un changement radical, je ne pas si j'aimais.

Mais si elle pouvait le faire pour moi, ça m'irait.

De toute façon, ça repousse.

Je quitte la pièce en jetant un dernier regarde dans la glace, mon visage était plus dégagé.

Elle pourrait mieux l'admirer.

Elle a dit que j'étais très beau, de ça bouche ça m'avait fait palpiter le cœur.

Elle dormait toujours, j'avais fini de revoir mes papiers et ainsi que le passeport.

Il fallait bientôt que je la réveille, il était bientôt 11 h. Et j'avais rendez-vous à 13 h.

J'aimerais pouvoir la laisser ici se reposer, mais c'était impossible être loin d'elle, m'était insupportable.

Je m'assois au bord du lit et commence à la regarder, j'enviais ça faciliter à s'endormir.

Je n'avais pas réussi à dormir de toute la nuit, je ne sais pas comment cela se faisait que je sois encore debout.

Je suis sûr que des cernes se trouvais d'où les yeux.

Mais en ce moment, je m'en fichais, je veux juste la contempler.

- Tu es si belle. Murmurais-je

Elle remue, sans pour autant se réveiller.

Les premières nuits, quand je m'introduisais chez elle, je restais juste à la regarder pendant d'heure, presque jusqu'à lever du jour. C'était une lumière dans mon obscurité.

Peu être, étais-je fou, mais j'avais cette impression de l'avoir toujours connu, comme si mon âme me criait que c'était elle ma destinée.

Comme si un lien invisible, reliait nos cœurs et les faisait battre à l'unisson.

Je détestais l'amour, c'était ce que j'exécrais le plus dans ce monde. Les gens qui succombaient à cette avarice.

J'étais tombé dans ce que je haïssais le plus, et c'était à cause d'elle.

Est-ce que, j'allais finir par me détester ? Si elle m'aimait peu importais.

Si son amour m'était destiné, peu importerait comment je me haïrais, elle serait là pour combler ce manque.

Mère, tu as laissé un trou béant dans ma poitrine après ton départ.

Mais grâce à ça mon chemin, c'est emmêlé aux siens.

Je caresse son visage, elle bouge en venant se coller à moi.

- Réveille-toi, petit chiot.

Elle gémit.

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant