A farewell?

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Elle voulait peindre sur moi, je ne suis pas particulièrement chatouilleux, mais cette proposition m'excitait vraiment.

Je découvre de nouvelles choses avec elle. Des choses que je n'aurais jamais pensé faire avec une femme, généralement, je domine.

Mais le fais qu'elle ne me laisse pas le choix, je suis en pleine extase.

Elle est unique, je ne pourrais jamais aimer quelqu'un d'autre.

Ma vie n'aurais plus de sens si elle me quitte.

L'ascenseur descendait, elle m'avait demandé plutôt où se trouvais le matériel de peinture.

J'avais aménagé la pièce spéciale pour qu'elle puisse y mettre son monde.

- Déshabille-toi dit elle en se retournant vers moi.

Je fonds bordel, j'ai envie de faire tout ce qu'elle me dit.

Je m'exécute, je sens ses yeux traînés sur les pectoraux, elle se mord les lèvres.

J'aimerais les sucer pour qu'elle devienne rouge.

Elle avait préparé toute sorte de pinceau et de peinture.

J'étais devant elle complètement nue, je n'étais pas du moins gêné. J'adorais ça même.

- Commençons, dit elle.

Prenant un pinceau à poil long, puis vient le bander les yeux avec un tissu.

Intéressant.

Ses pas étaient discrets, je les entendais, à peine. J'attendais, mais rien ne venaient, elle m'avait assise.

J'avais envie de sentir ses mains sur mon corps, le fait de ne pas la voir me tendait un peu.

J'étais impatient, elle devait le ressentir.

- Tu t'impatientes My Love, murmure-t-elle contre mon oreille.

Est-ce que je pourrais lui répondre ?

Je sentis alors le pinceau sur ma peau, je frissonne.

C'est froid et agréable en même temps, je voulais voir son visage ses expressions, si son envie était aussi élevée que le mien.

Je remue sur la chaise.

- Et bien, j'en connais un qui est excité, un vrai petit chien en rut.

Bordel, c'était de la torture, les pinceaux caressaient mon corps, et la peinture apportait un côté frais, je devais en être recouvert.

Ne pas pouvoir exprimer mon désir en la regardant me frustrait.

- Tu es magnifique.

Vraiment ? Je veux voir, laisse moi voir.

Les yeux toujours bandé, elle ne m'avait pas toucher directement avec ses mains, je voulais les sentir sur moi.

Mais se fut tout autre chose qui rentre en contact direct avec ma queux ses lèvres l'entourait.

Putain elle l'aspirait, mon corps tressautant lorsque ça langue chaud frôlais mon gland.

Laisse-moi parler, laisse-moi te dire combien j'aime ce que tu me fais.

J'allais bientôt venir lorsqu'elle s'arrête.

Elle venait de me le frustrer davantage.

Elle se venge, cette femme est redoutable.

Je l'aime, piété seigneur laisse la moi encore un peu.

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant