Liar

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Cela ne fessait qu'une demi-journée quelle étais là.

Elle avait réussi à trouver mon identité, et qui plus est à s'échapper, j'allais devoir renforcer la sécurité.

Désormais, elle ne sortirait de la cage que quand j'aurais envie de la martyriser.

- Tu vas retourner dans ta cage.

Ses yeux sont posés sur moi.

- Vous êtes vraiment beau dit elle.

Je la regarde avec dégoût. Quelle merde sortait de ça bouche, j'avais envie de lui coudre pour l'empêcher de parler.

- Avance au lieu de dire des imbécillités.

Elle avance devant moi, les vêtements qu'elle portait étais beaucoup trop grand pour elle, qu'ils baillaient.

Elle s'arrêta devant la porte, enfin ce qu'il en restait, celle-ci étais presque en cendre.

Elle s'éloigne de moi par sécurité, j'avais envie de lui arracher le bras en cet instant.

- Pourquoi tu fuis au loin, je ne vais pas te tuer pour une simple porte.

J'avais les sourcils froncés et croisais les bras sur mon torse. Elle reste tout de même à bonne distance.

Comment avais tel fait-tout ça surtout que ses portes son si épais, qui est presque impossible de les brisées à moins d'être une bombe.

- Tu t'y connais en bombe ?

Elle semble surprise par la question, je venais de m'adosser aux murs en attente de réponse.

- Si tu réponds, je serai généreux petit chiot.

Elle esquisse un sourire.

- Votre générosité, se résume à me séquestrer et à me violer, pourquoi je devrais répondre à vos questions, vous avez juste été trop bête de me sous-estimer Love.

Je ne sais pas ce qui me surprenait le plus.

Qu'elle me traite d'idiot ou le faite est qu'elle met appeler par mon prénom.

- Tu as réussi à sortir de ta cage, et maintenant, tu sors les crocs.

Je me rapproche la surplombant, son corps était compressé contre le mur, son visage se retrouver face à mes pectoraux, elle lève la tête pour me regarder dans les yeux.

- Je veux avoir une réponse par ce que, je reconnais que tu m'as impressionné.

Elle écarquille les yeux.

- Vous êtes mon bourreau, il est normal que j'essaie de m'échapper, pour ce que, vous m'avez fait vous devrez payer.

Je penche la tête sur le côté.

- Tu penses que tu réussirais à t'échapper à nouveau Aris, les choses seront différentes, je vais t'avoir à l'œil et plus aucune occasion ne se représentera.

Elle déglutit difficilement, il fallait nettoyer toute cette merde, quelle avais engendré. Encore mieux c'est elle qui allais réparer ses conneries.

J'étais beaucoup trop crevé pour le faire moi-même surtout que c'est elle qui a fait tout ça.

- Avance jusqu'à la porte au fond !

Elle me regarde incrédule, je souris sous son expression, ses joues se tintent légèrement de rouge. Ce qui me fit arrêter de sourire.

- Tu y trouveras un balai et des produits pour nettoyer la merde que tu as causé.

- Mais mon poignet est cassé, j'ai encore mal. Vu que ça ne fais quelques heures que vous me l'avez brisé.

J'étais tellement crevé que je ne voulais pas débattre avec elle.

- Très bien, tu retournes dans ta cage.

Elle grimace.

- Je peux avoir à manger avant ? Marchande-telle

J'arque un sourcil, elle venait vraiment d'oser demander ça, elle avait un sacré toupet.

- Tu ne crois pas que tu en demandes beaucoup, petit chiot.

Elle me regarde en papillonnant des yeux, un rictus se dessine sur mon visage. Une idée venait de me traverser l'esprit.

- Bon d'accord dis-je en lèvent les yeux au ciel, style de rien, mais t'a intérêt de plus rien demander, et de rentrer dans ta cage sans rien dire.

Ses yeux s'illuminent légèrement.

Elle me suit jusqu'à la cuisine.

- Assieds-toi.

Elle s'exécute sans rien dire.

Je souriais toujours en coin, j'avais hâte qu'elle voit son repas.

Je saisis un paquet, dont je verse le contenant dans une gamelle. En regardant par-dessus mon épaule, je la vois regarder au tour d'elle. Je me retourne et pause pose le plat devant elle.

- Bon appétit, petit chiot.

Elle regarde le contenu, son visage se tord de dégoût. Effectivement, quelle est la meilleure nourriture pour chien, que des croquettes.

- Allez, mange, tu vas te régaler ! Promis après je te fais des grattouilles sur le ventre. Rigolais-je

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant