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- Laisse-moi te soigner.

Elle saisit, la trousse de soins, sortant plusieurs compresses et du désinfectant.

- Pourquoi tu as renvoyé Dareios.

Tapotant légèrement sur ma lèvre, je ne réagissais même pas à la douleur que ma lèvre me provoquait.

- Il m'a pris de haut, c'est tout.

D'un coup elle appuie plus fort sur ma plaie, je la foudroie du regard.

Elle fait mine de rien, son frère avait l'air de compter énormément dans ça vie.

Le fait qu'elle me frappe le prouvait sans nul doute. Cela m'énervait, j'aimerais le frapper à nouveau pour que l'on soit bien quiet.

Mon visage était abîmé par ça faute, c'est vraiment un faible, je n'avais même pas mis toute ma force.

- Tu méritais quand même ce coup.

Je lève les yeux au ciel en dégageant sa main de mon visage.

C'est agaçant, cette façon qu'elle à de rappeler les choses désagréables.

- Il avait cas faire son travail correctement.

Elle fronce les sourcils.

- Tu te moque-moi, tu la mis dehors juste parce qu'il ne s'était pas rendu compte que tu étais le patron. C'est vraiment bas te part. Est-ce qu'au moins t'es employé son informer de suis les employés.

Qu'est-ce que j'en savais, c'est Laïla qui s'occupe de tout ça, je valide juste quand elle m'en parle, enfin quand j'écoute réellement ce qu'elle dit.

- Ils sont censés le savoir.

La faute était mise sur moi, chacun employait dois faire son travail correctement, peu importe leur insignifiance dans l'entreprise. Ils doivent être irréprochables.

- Excuse-toi auprès de lui.

Quoi ?

- Jamais de la vie !

Elle souffle en appliquant de la crème sur ma blessure.

- Love, si tu ne t'excuses pas reprend le, il a vraiment besoin de ce travail. Si tu ne le fais pas pour lui, fais-le au moins pour moi.

Je passe ma main dans mes cheveux, mes yeux glissent sur son visage, la cicatrice sur celui-ci, se voyaient encore un peu. Elle ne disparaîtrait jamais.

Je n'y avais pas été de main morte de jour là, je voulais qu'elle comprenne que je ne plaisantais pas. Que peu, importait sa détermination la mienne étais plus grande.

- J'y réfléchirais, s'il s'excuse.

Elle lève les yeux au ciel. Puis souris en coins.

- Ne t'en pas, tu es toujours aussi beau.

Je croise les bras sur mon torse en ricanant.

- Les flatteries ne marchent pas sur moi petit chiot.

Elle rit à son tour en tapant mon épaule.

- Je me demandais quand vous alliez m'appeler à nouveau comme cela Monsieur Braham.

Je glisse mes mains autour de ça taille, puis embrasse son front.

- J'attendais juste que vous me donniez la perche, Madame Braham.

Elle se décolle de moi gêné.

- Tu veux toujours que je sois ta femme ?

Évidemment, tu peu être à personne d'autre, tu es à moi. Combien de fois dois-je lui répéter pour qu'elle l'imprime dans son crâne.

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant