- Lâchez-moi, criait-elleElle essayait de partir dans le sens inverse de notre direction.
- Tu as voulu jouer Petit chiot, alors il est normal que je joue en retour.
Arrivé dans la pièce, je la poussais sur le lit. Elle se redressa rapidement en essayant de quitter celui-ci.
Mais j'agrippai ses jambes.
- Je m'excuse Love par pitié, ne me fais pas de mal.
Je fronce les sourcils, comment pouvait, elle pensé que je lui ferais du mal, je veux juste m'amuser.
- Aris, murmurais-je
Ses yeux apeurés se posaient sur mon visage. Son regard me fascinait toujours autant.
Cela me rappelait la première fois où je l'avais rencontré.
Elle était là.
Dans cette salle assise face à cette toile remplie de couleur sombre, je ne sais pas combien de temps, je l'avais observé.
Ce jour-là, mais il m'avait été impossible de l'effacer de mes pensées.
Surtout quand son regard à croisé le mien, le sien étais si profond, si intense, il était presque impossible de le d'écrire.
J'avais été comme figée dans le temps, j'aimerais être le seul à pouvoir les contempler. Cela avait été ma première pensée.
Je voulais posséder cette personne avec de si beaux yeux. Elle devait être mienne.
Mère m'a toujours dit, que si je voulais quelque chose, il fallait que je le prenne, même si c'était de force. Car à partir du moment où on désire quelque chose. Il faut tout faire pour l'avoir.
J'écoutais, toujours ce que mère me disait.
Je la voulais par tous les moyens, elle serait mienne.
J'avais essayé plusieurs méthodes pour l'approcher.
Les cadeaux, des propositions dans de grandes maisons d'art, je menaçais même les mecs qui l'intéressaient de ne plus l'approcher, pour que seul moi puisse poser mes mains sur elle.
Mais elle avait toujours tout rejeté, j'avais même pensé abandonner. Jusqu'à ce que cette idée, germe dans mon esprit.
Dès le premier instant, où j'avais posé les yeux sur elle, tout son être m'appartenait.
Très bien, la couvrir de cadeau ne suffisait pas, alors je devais faire en sorte qu'elle ne voie que moi, la faire rentrer dans mon monde de folies.
Aris, tu es est mon obsession, je ne plus passer un seul instant loin de toi.
- Tes yeux, c'est pour ça que tu es ici.
Elle fronce les sourcils dans l'incompréhension.
- J'aime leurs couleurs, ça me fascine la façon dont tu regardes le monde avec, d'une manière dont je ne le verrais jamais. C'est pour ça que je t'ai enlevé. Je voulais être le seul à pouvoir les regarder. Non, je voulais être le seul que tu regardes, Aris.
Elle semblait choquée par ma révélation, je souffle en baissant la tête, qu'est-ce qui m'arrivait, pourquoi je n'arrive pas à la faire mienne.
Je tenais toujours se cheville dans mes mains.
- Vous m'aimez ? Pourquoi ne pas être venue me parler, comme une personne normale le ferais ?
Je lève les yeux, vers elle, pleine confusion, c'était impossible, je ne pouvais pas l'aimer, je n'étais pas faite pour ça.
- Aris, je suis désolé. Je vais te laisser partir. Peu importe, la décision que tu prendras à mon encontre, je l'accepterai.
Je lâche ses jambes en reculant, elle commence à se lever. Je la regarde faire, à présent, elle me tournait le dos.
- J'ai un dernier cadeau pour toi, ne te retourne pas, je te promets que ça ne fera pas mal.
Elle hoche la tête sans se retourner.
Trop naïve.
Je caresse délicatement son épaule pour remonter vers son cou elle frisonne quand, je place autour de celui-ci un collier. Instinctivement, elle passa ses doigts dessus, puis se retourne vivement.
- Vous..
Sans lui laisser le temps de répondre, je tire sur la laisse qui était reliée au collier, elle tombe directement à mes pieds.
- Tu devrais te méfier des belles paroles, petit chiot, il suffit que je te dise que je suis désolé pour que tu baisses ta garde. Tu es vraiment pathétique.
Elle me regarde les larmes au yeux
Mon sourire s'agrandit, mon cœur lui battait à tout rompre, j'aimais cette sensation.
J'en voulais encore plus.
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Obsessive Control [sous contrat d'édition ]
Romance🦋 EN RÉÉCRITURE 🦋 Elle se réveilla dans l'obscurité, allongée sur une banquette arrière. Le cuir froid contre sa peau et l'odeur métallique du sang séché étaient troublants. À qui appartenait cet endroit devenu sa prison ? Ses poignets étaient sol...