Despair

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Serrant son cou tout en mouvant à l'intérieur de son intimité serrée, même en la préparant avec mes doigts ; j'avais dû forcer pour que ma queue y rentre.

Elle, son corps tremblait, tellement qu'elle tenait à peine sur ses jambes, j'étais obligé de la maintenir par la taille avec mon bras disponible.

Elle devait être au bord de l'évanouissement, elle ne se débattait presque plus.
Mes mouvements d'avant en arrière étaient de plus en plus rapides et brutaux. Je pouvais m'enfoncer profondément sans crainte, son vagin aspirant ma queue, c'en était exaltant. À chaque fois que je rentrais, j'étais sur le point de jouir.

L'eau qui coulait sur nos corps n'était plus aussi froide au contraire, elle apportait des sensations nouvelles.

- Petit chiot, tu ne te rends pas compte comment je prends mon pied.

Elle ne réagit pas quand je la retournai pour l'avoir face à moi, je la soulevai en mettant ses jambes sur mes avant bras.

- Tu ferais mieux de te tenir.

Ses yeux se posèrent sur le sol, elle commença à paniquer et vint s'agripper avec force à ma nuque.

Je ricanais, son visage était enfoui dans mon cou.

- S'il vous plaît, arrêtez, je n'en peux plus, chouina-t-elle.

Je replaçai ma queue à l'intérieur de sa chatte, je m'y engouffrai à nouveau avec brutalité. Elle gémit de douleur en venant mordre mon cou à pleines dents.

Elle avait mordu tellement fort que du sang commença à coller de la morsure dont ses dents étaient toujours accrochées.

- Continue petit chiot, impose ta marque sur moi...

J'étais sur le point de jouir tellement mon corps vibrait, je commençais à voir flou. Comme transporté dans une autre dimension.

Mon corps s'était déchargé de toute frustration accumulée.

J'étais comme pris d'ivresse.

Avec cet enivrement, je la désire d'autant plus.

Me retirant, une coulée de sperme tomba au sol.
Je la reposai au sol, puis me penchai au-dessus d'elle en relevant son menton.

- Remercie-moi, j'ai été tendre aujourd'hui, ne t'attends pas à autant de gentillesse les prochaines fois, petit chiot.
Tu as le droit de te promener un peu dans la maison, tout est sécurisé.
Donc il te serait impossible de t'échapper. Tu peux tenter de me tuer si tu le souhaites, je vais adorer te regarder essayer.

Je me relevai et attrape une serviette que j'enroule autour de mon corps, je sors de la salle de bain sans me retourner, la laissant derrière moi complètement souillée.

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant