Obsessive Control [sous contrat d'édition ]

Memory

Elle avait fini par s'endormir, son corps était toujours aussi chaud.

C'était une putain de baise.

Je devrais peu être moi aussi prendre des aphrodisiaques la prochaine fois, qui sait ce qu'il se passerait.

Elle s'était évanoui son corps étais à bout de force. Je l'avais mise au lit et elle ce n'était pas réveillé depuis.

Je gardais tout de même un œil sur elle. C'était plus de la fatigue accumulée au fil des heures.

Il était actuellement 7 h, je m'étais remis à travailler.

J'étais exténué, mais je ne pouvais pas me permettre de ne pas faire ses documents, le procès était début de semaine prochaine, il fallait aussi que je fasse ce faux passeport pour cette fille.

Pourquoi Nov avait besoin de ça tout à coup, et qui est-elle.

Elle a l'air si jeune.

J'entends remuer derrière moi, je me retourne.

Aris avait les yeux ouvert, mais sa tête était toujours posée sur l'oreiller.

- Ça va mieux ?

Elle saisit l'oreiller à côté et le balance dans ma direction, je me le prends en pleine face.

- Ne me drogue plus jamais Love !

Je souris, en me levant puis me place au bord du lit.

- Ose dire que tu as détesté tout ce qui c'est passé ?

Elle monte la couverture sur son visage lorsque quelques souvenirs lui reviennent, elle devait être en train de rougir.

- Tout ce qui arrive est de ta faute.

Je baisse la couverture de son visage et viens l'embrasser.

Elle passe ses bras au tour de la nuque pour accentuer notre baiser.

- C'était un mal pour un bien, vue que tu as accepté de m'épouser. Dis-je en me décollant de ses lèvres.

Ses yeux s'ouvrent en grand, elle avait vraiment oublié ?

Elle se détache de moi, puis se redresse.

- Tu m'as demandé de t'épouser ? Je n'étais pas dans mon état normal alors...

- Regarde ta main. La coupais-je

Elle lève sa main gauche devant ses yeux. Ne disant rien en la fixant, je pris la parole.

- Peu importe que tu n'étais pas dans ton état normal, maintenant, tu vas devenir ma femme, il n'y a pas de retour en arrière.

Son regard se pose sur moi. Elle finit par soufflé devant mon regard déterminé.

- D'accord, mais si je deviens ta femme es que je serais plus libre ?

Plus libre ? Est-ce qu'elle voulais sortir à nouveau dehors, dans ce monde impitoyable.

Je ne sais pas.

Je ne veux que personne d'autre ne poses les yeux sur elle.

Mère, est-ce que je dois accepter de lui accorder un peu de lumière ?

Tu n'as pas confiance.

- Pour commencer, ce ne sera pas si tu le deviens, mais tu le seras. Aris, tu es à moi, ta liberté, tu dois la mériter. Tu as déjà tenté trop de fois de t'échapper.

Elle baisse la tête déçue, je saisis son menton pour que relève celle-ci pour me regarder.

- Si tu te comportes bien aujourd'hui, j'y réfléchirai.