Mask down

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Les menaces ne fonctionnaient pas sur moi si elle voulait crever, qu'elle le fasse, j'étais fatigué.

Si j'avais su... Je n'aurais jamais...

Non, elle m'appartient, je suis fou d'elle.

Mais elle doit comprendre que je décide, et que tout se passe comme je le désire.

- Crève alors.

C'était du bluff.

Quoique.

J'étais en train de douter.

Ses yeux perdaient en éclat.

Ce n'était pas la réponse à laquelle elle s'attendait, j'avais êtes trop brutal ?

Non...

Je ne dois jamais rien regretter.

Les punitions sont méritées, mère le dit toujours.

Elle n'a pas respecté, mon espace personnel, tout se passait bien pourquoi tu as tout gâcher comme ça.

La bague était dans ma poche mes doigts s'amusait avec.

J'avais envie de lui pardonner, mais je ressentais encore cette rancœur.

Je n'étais pas prêt.

J'avais pourtant été claire.

Mais il a fallu qu'elle insulte, pourquoi elle insiste toute.

J'ai le contrôle, et personne d'autre ne dois l'avoir.

La souffrance serait le lot de consolation, à toute désobéissance.

Le contrôle, je l'avais perdu avec elle, non, je lui avais laissé, mais elle a été trop gourmande.

Je devrais briser cette chaîne qu'elle essayait de m'enfiler.

J'étais libre.

Libre de fait tout ce qui me plaît. Je ne dépendais de personne.

Si d'elle.

Elle m'aveugle, je ne peux plus réfléchir correctement en ça présent.

C'est comme si on appuyait sur ma poitrine pour me tenir au sol.

Elle avait peur de moi.

Comment, mon amour pourrait l'atteindre si elle me craint ?

Je devais la contrôler, c'était la solution.

La privée de tout libre-arbitre.

Aris, ma folie va te tuer, mais peu être qu'avant ça, tu redeviendras un petit chiot docile.

Je te veux auprès de moi.

Ne t'éloigne pas.

Non, c'est moi qui te repousse.

Ma mère est le sujet non-abordable.

Elle devait mourir, peu importerait si c'était de la main ou de celle d'un autre.

Lui lacérer le visage, pour que celui-ci ne vienne pas me hanter.

Mais j'aurais dû aussi lui couper les cordes vocales. Pour ne plus entendre sa voix me murmurait à l'oreille.

Je ne dormais pas, lorsque je le voulais des cauchemars, effroyables me réveillait.

Aris, j'ai peur.

Je ne peux pas être sauvé.

Accepte-moi, juste comme je suis.

- Love, tu es unique en ton genre, je veux aimer qui tu es.

Obsessive Control [sous contrat d'édition ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant