Victoria
— OH MON DIEU ! s'exclame Diana a travers mon portable perçant mon tympan.
Je sourit en fixant le plafond blanc de ma chambre.
Après une semaine d'attente dans la peur d'annoncer le retour de notre réconciliation a Diana, j'ai décidé aujourd'hui d'appeler mon amie pour lui raconter les événements des derniers jours.
Comme à son habitude et fan numéro un de notre couple, je l'entend encore rire de l'autre coter du téléphone.
— Je suis tellement contente et puis en fait j'étais certaine que ça allait s'arranger entre vous.
— Tu en était certaine ? Demande-je amusée.
— Oui, vous étiez trop malheureux séparés l'un de l'autre.
C'est la stricte vérité.
Je pense n'avoir jamais étais aussi triste après notre dispute. William l'étais autant que moi, sauf qu'il est trop fier pour l'avouer. Il m'a dit que je lui avait manquer mais il n'a pas mentionné son mal être.
Mais, maintenant tout est derrière nous.— On devrait dîner ensemble, déclare Diana me fessant sortir de mes pensées.
— Tout les trois ?
— Oui ! Je rentre la semaine prochaine pour les vacances de Pâques.
Deux coups contre la porte de ma chambre me fait légèrement sursauter.
— Oui ? M'exclame-je assez fort pour que ma voix traverse la porte.
— T'es parents t'attendent pour dîner, entende-je la voix de Roma.
Mon corps reste d'abord figée contre mon matelas.
— Tori ? Alloo !
Diana a l'autre bout du fils m'aide à reprendre mes esprits, je me lève de mon lit.
— Je te rappelle plus tard, Diana.
— N'oublie pas de le faire cette fois-ci !
Je raccroche et ouvre la porte pour découvrir notre cuisinière tout sourire.
Des dents bien aligner, une peau pâle et des cheveux noir lui donne un air de blanche neige.
Mes yeux ce plissent.— Qu'est-ce que tu as dit ?
— T'es parents t'attendent pour dîner, répète-t-elle enjouée.
J'hoche plusieurs fois la tête.
— Ok, on est dans un autre univers c'est ça ? Demande-je perplexe.
Roma rit légèrement avant d'ouvrir la marche. Je la suit à travers le couloir pour rejoindre la salle à manger ou je retrouve mes parents déjà installées.
— Ah, te voilà ! Nous t'attendions pour dîner, déclare mon père.
— Vous auriez pu commencez sans moi, dit-je en prenant place en face de ma mère.
Son regard sur moi me met mal à l'aise mais j'essaie de calmer mes nerfs en arrachant la peau autour de mon ongle.
Nous nous fessons servir nos assiettes dresser.
Un morceau généreux de bœuf accompagné de légumes et une purée de patate douce.

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VICTORIA
RomansaLa mauvaise graine. Connaissez-vous cette sensation de se faire ignorer par son entourage ? Lorsque vous êtes assis autour de la table durant le dîner habituel du soir et que vous essayez de parler de choses qui vous font plaisir. Mais, que vous...