VICTORIA

Chapitre 33

Victoria

Avant d'avoir une meilleure amie, je ne pensais pas qu'elle aller être aussi curieuse que Diana.

C'est à peine une demi-heure après notre rendez-vous au café avec son frère que Diana m'appelle pour connaître les réponses qu'elle n'a pas pu avoir aujourd'hui.

— Tu es encore là ? Demande-je allonger sur le dos dans mon lit.

C'est un état de choque qu'elle est entrain d'avoir après lui avoir raconté notre relation de la veille au lycée.

— Je comprend que tu ai faillit t'étouffer.

J'explose de rire.

— C'est toi qui a voulu savoir le pourquoi du comment.

— Je regrette, putain c'est mon frère quand même !

Encore une fois je ne peux m'empêcher de rire à gorge déployée.

— Bon, je vais essayer d'oublier que tu te tape mon frère... comment tu te sens ?

Je ne perd pas de temps à répondre.

— Je me sens vivre, annonce-je.

— Vous faite un beau couple tu sais.

— Merci, dit-je en pensant à mon petit ami.

— Tu fait quoi demain soir ?

— Je dois réviser j'ai un contrôle de biologique lundi matin.

— Et si au lieu de réviser et apprendre comment découper une grenouille tu ne sortirais pas avec moi en boîte de nuit ?

— En boîte de nuit ? Euh... j'aimerais beaucoup mais je devrais d'abord en informer William.

— Tu as raison, tu m'envoies un sms plus tard pour ta réponse ?

— Ok, à plus tard.

Je sourit en raccrochant puis me lève de mon lit pour récupérer mes affaires et grimper dans ma douche, j'en profite pour faire quelques masques et gommages à mon corps et mon visage.

Une fois ma peau dégraisser de toutes les saletés de la journée je m'allonge dans mon lit vêtu d'une simple culotte. Mes cheveux tremper dégoulinant encore dans ma nuque.

Le sourire sur mes lèvres s'élargit lorsque je remarque un appel entrant de William, je répond directement.

— Bonsoir, dit-je d'une voix douce.

— Salut, j'appel de la part de ma petite soeur qui me mène à la baguette.

Je rit.

— Pardon ?

— Diana m'a envoyer une dizaines de textos l'un suivant l'autre en me suppliant d'accepter de te laisser sortir avec elle demain soir.

— Elle n'as pas fait cela ! M'exclame-je en levant les yeux au ciel.

— Apparement.