Chapitre 49

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Victoria

Des bras musclés et réconfortant s'enroulent autour de ma taille tandis que j'applique une couche généreuse de mon rouge à lèvres.

Argh, ce satané rouge à lèvres, marmonne-t-il avant de se blottir dans mon cou.

Je rit alors qu'il embrasse et mordille la peau sensible de ma nuque.

Pour qui te fait-tu aussi belle ? Demande-t-il entre deux baisers.

Ses mains remontent lentement vers mes seins, les serrant doucement.

— Je rejoins Diana au café.

Il lève la tête pour me fixer intensément à travers le miroir de la salle de bain en face de nous.

— Et on m'exclut ?

Un rire sort d'entre mes lèvres lorsque je me tourne pour lui faire face.

— Exactement. C'est une sortie entre filles pour nous plaindre de nos copains, donc tu es exclu, répond-je pour le taquiner.

William ne capitule pas, il me soulève pour m'assoir sur le comptoir de la salle de bain et m'encercle tel un bouclier humain.

— Diana va me tuer si j'arrive en retard.

— J'ai quelque choses à te dire.

Son air très sérieux me fait peur. Je ne dit rien et attend qu'il parle.

— Ce soir, nous allons dîner chez mes parents, annonce-t-il.

— Nous ? Demande-je en sentant les battement de mon coeur s'accélérer.

Cela fait deux petites semaines qu'à eu lieu le dîner entre mes parents, William et moi.
Depuis, ni mon père ni ma mère m'ont reparler de mon petit ami.
Ils l'acceptent, étrangement.

Les parents de William sont différents, ils sont normaux.
Ils sont si gentille.

J'ai peur de leur donner une mauvaise image de la petite amie de leur fils.

Le petit sourire malicieux de William me rend encore plus hystérique.

— Arrête de te moquer.

— J'aime tellement te voir stresser.

— Ce sont tes parents, William.

— Merci pour l'information.

Je lève les yeux au ciel.

— Tu sais ce que je veux dire. Ils sont différents des miens, ils sont tellement adorables et attentionnées envers moi...

— Parce qu'ils t'adorent, ils t'ont aimer lorsque Diana ta présenter en tant que son amie mais là je suis sure qu'ils seront très heureux de savoir pour nous. Ils t'aiment beaucoup, me rassure-t-il.

Il sourit ce qui me fait hocher la tête.

Mon petit ami reprend ses baisers dans mon cou, son souffle chaud me fessant frissonner tout le long de mon dos.

VICTORIA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant