Chapitre 40

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William

Elle a disparu.

Il est minuit passer et les infirmières ont appelé la sécurité pour m'ordonner de quitter l'hôpital.

Je me suis précipité ici il y'a quelques heures en cherchant la chambre d'Henry mais elle n'y étais pas.

— Fait chier !

Mes messages n'ont rien donner. Aucune réponses de sa part.
J'appuie sur le contact de ma soeur et attend qu'elle me réponde.

— Allo ?

— S'il te plaît, dit moi que tu as des nouvelles !

— Aucune.

— Putain ! Diana, si il lui ai arrivé quelques choses je vais-

— Calme-toi, je vais appeler chez elle et demander à sa mère si elle est a la maison. Je te rappelle.

Elle me raccroche au nez.

Je soupire et grimpe dans ma voiture tout en continuant à lui laisser des messages tous plus inquiet les uns que les autres.

Après quelques minutes, Diana me rappel.

— Oui ?

— Elle n'est pas chez elle.

— Ok, je vais chez les flics.

— Et tu va dire quoi ? Que ta petite amie de dix-huit ans a disparu ?! Il ne ferons rien ce soir !

— Qu'est-ce que je dois faire ? Attendre ?! Tu pense réellement que je vais rentrer chez moi et attendre qu'on la retrouve demain matin blesser dans le coin d'une rue mal fréquentée ??! Je ne peux pas, Diana !

— Arrête de penser à des choses aussi affreuses !

— Je suis réaliste !

— Tori est une fille intelligente. Je suis sure qu'elle va bien.

Mes yeux louche sur l'étui de son violon poser sur le siège passager de ma voiture.
Je soupire.

— Je vais faire le tour de la ville.

— Will-

Elle n'a qu'à m'en vouloir, je lui raccroche au nez et démarre au quart de tour.

Son père est déjà rentrer après avoir était soigner. Gustave doit être chez lui à faire les cents pas en repenser cette soirée.

Mais elle, où est t'elle ?!

Je n'ai jamais étais aussi inquiet, bordel !

La sonnerie de mon portable résonne dans ma voiture. Je m'arrête sur le côté en remarquant son prénom sur l'écran.

— Victoria ! Où est tu ? Demande-je rapidement.

Elle laisse un long moment de silence pesant entre nous.

— Mon amour, dit moi ou tu es. Je viens te chercher.

— Tu savais, commence sa voix douce.

— Quoi ?

— Gustave est mon père, William et tu étais au courant.

Les battement de mon coeur s'accélèrent.

— Oui, oui je le savais mais il m'a demander de ne rien te dire.

Elle rit jaune.

— Rien me dire ? Je mériter de savoir !

— Je sais, je sais mais... c'était à lui de te le dire pas à moi.

Sa respiration arrive à mes oreilles me fessant frissonner.

— Tu es où, mon amour ?

Je n'ai le temps d'entendre qu'un reniflement avant qu'elle me raccroche au nez.

— Non !

A nouveau, je réessaie de l'appeler plusieurs fois mais elle ne répond plus.

Mon front claque contre mon volant.

Elle m'en veux. Je savais qu'en lui mentant elle allait être en colère contre moi.
Je ne l'accepterai pas.

Il est hors de question que Victoria se sente trahi par moi a cause de cette histoire.
Je ne la laisserais jamais tomber.

En remettant le contact, je continue de faire le tour de la ville espérant la retrouver.

VICTORIA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant