Chapitre 6

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William

Je suis perdu dans mes pensées mes yeux fixant la feuille marquer par ses lèvres généreuse.

Mon portable vibre contre le bois de mon bureau et je me rend compte de l'heure qu'il est lorsque je louche sur l'écran de l'appareil.

— Merde, marmonne-je.

Je décroche à Jane qui dois s'impatienter de mon retour à la maison.

— Je sais, je suis en retard, je déclare en répondant à son appel.

— C'est une soirée très importante pour moi William !

— Oui, Jane, je sais. Je serais à la maison d'ici dix petite minutes.

Après avoir raccrocher, je récupère ma manette en cuir et range rapidement mes copies à l'intérieur.
J'attrape sa feuille et la place dans le tiroir de mon bureau en refermant à clé ensuite.

Le trajet est si court que j'en suis déçu d'être arriver aussi vite.
Mon appartement est a une petite dizaine de minutes du lycée ce qui me facilite la tâche chaque jours.

Mes affaires en mains, j'entre dans le hall et appui sur le bouton de l'ascenseur.
Arriver au quatrième étages, je me rend en face de l'appartement 3.B et sort mes clés de ma poche.

Je pousse la porte de la main et entre chez moi.

L'odeur insupportables de lavande envahit mes narines dès que j'y met un pied.

Jane est accro à cette fleur.
Tandis que j'essaie toujours de camoufler le parfum fort par un plus léger tel que la vanille.

Comme ton élève.

Je sort cette pensée de mon esprit en secouant ma tête. Mes affaires poser sur mon bureau je rejoins notre chambre à coucher.

Lorsque j'arrive à l'intérieur, je retrouve ma petite copine habiller d'un simple ensemble de sous-vêtements assez sexy.

Elle est debout en face du miroir et termine d'enfiler des bijoux pour agrémenter sa tenue qui patiente accrocher à la porte de la salle de bain.

J'approche d'elle pour l'enlace de derrière et pose mes lèvres sur son épaule en remontant doucement dans sa nuque.

La lavande me pique le nez mais la voir dans cette tenue me donne envie d'elle.

— William, nous allons être en retard !

— Cinq petites minutes, marmonne-je contre son oreille.

Elle se défait de mon emprise en me repoussant.

— Hors de question ! Va prendre une douche et te changer immédiatement, je ne peux pas me permettre d'être en retard ! S'exclame-t-elle.

Je la lorgne deux secondes ma bouche rougis par les baisers que je lui est donner dans le cou.

En remarque son aire sérieux je laisse tomber et rejoins la salle de bain pour me relaxer sous la douche.

L'eau chaude détend mes muscles crispé durant toute cette journée.

Mes yeux ce ferme et ma mémoire me joue des tours en envahissant mes pensées par ses lèvres rouge.
Je ravale la bile dans ma gorge.

VICTORIA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant