Chapitre 24

122 8 0
                                    

Victoria

Mes pleurs et mon mal de tête ce sont calmer, même si la douleur de mon coeur briser ne cessent de s'intensifier.

Après avoir pris une douche et enfiler des habits d'homme, William ma forcer à manger quelque choses.

J'ai croquer deux fois dans une part de pizza.

Incapable d'avaler quoique ce soit.
J'ai essayer de partir mais il m'en à empêcher.

Nous nous sommes endormis sur le petit pouf du salon, William me serrant dans ses bras.
Me prélassant contre lui toute la nuit.

Je me suis sentie mieux grâce à lui mais la douleur est persistante.

La sonnerie stridente de son téléphone résonne dans le petit studio tandis que nous sommes encore en plein dans nos sommeilles paisible.

Je gémis en me redressant dans le lit.
Je me rend rapidement compte que mon visage est maintenant enfui dans le creux de son cou.
Hument son parfum mentholé.

La sonnerie hurle une deuxième fois dans mon oreille.

— Pourquoi tu ne répond pas ? Marmonne-je d'une une voix fatiguée.

— Un koala m'en empêche, répond-t-il amuser.

Une fois mes yeux ouvert je relève la tête et remarque à quel point je suis accroché à son corps.

Une jambe enroulée entre ses cuisses et un bras sous son teeshirt entourant sa taille.

Il me sourit joyeusement avant que je puisse me séparer de lui.

Le portable poser au sol continue de vibrer annonçant plusieurs messages urgent. Je le récupère et le lui tend.

— C'est sûrement important.

Il hoche la tête et déverrouille l'appareil pour lire ses messages.
Je passe mes mains sur mon visage pour me réveiller tout en soupirant.

— Victoria ?

Mon regard rencontre le siens et je reconnais son air inquiet.

— C'est ton père, marmonne-t-il.

Je me redresse en fronçant les sourcils.

— Quoi ?

Il fait des aller-retours entre mon visage et l'écran de son portable puis il fixe sérieusement mes yeux.

— Il a eu un accident de voiture, annonce-t-il.

Mon coeur bat rapidement.

— Comment ça... I-il est... il-

— Il est a l'hôpital en soins intensifs.

Toute les parties de mon corps commencent à se mettre à trembler. Je me redresse pour me lever complètement et je récupère mes habilles de la veille.
Je me déshabille et enfile mes affaires devant le regard interloqué de William.

— Victoria, tout va bien ?

— Non, non je... je dois y aller... mon père est a l'hôpital je dois y être.

VICTORIA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant