Chapitre 15

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William

Mes muscles se sont engourdis.

Nous sommes assis sur ce banc depuis une demi-heure et je ne peux m'empêcher de la regarder elle et ses lèvres rougit par mes baisers.

C'est dingue de se sentir aussi bien avec quelqu'un que je ne connais pratiquement pas.

Cette odeur vanillée fait frissonner ma peau sans cesse depuis que nous sommes coller l'un contre l'autre.

Elle se redresse pour se séparer de moi et poser son dos contre le bois du vieux banc.

— Vous savez que ce que nous avons fait est interdit, déclare-t-elle.

— Je le sais.

— Si quelqu'un le sait nous allons avoir de gros problèmes je ne voudrais pas que vous soyez renvoyez par ma faute je-

— Pourquoi continue-tu as me vouvoyer ? Demande-je en affichant un sourire moqueur.

Mes yeux lorgne les siens quelques secondes puis j'explose de rire.

— Par habitude, je suppose, rie-t-elle.

— Et bien, tu peux arrêter de le faire maintenant.

Je remarque qu'elle se trémousse nerveusement en jouant avec le lacet de mon sweet à capuche les sourcils froncer.

— Tu ne comprend pas.... Nous nous sommes mis dans une situation hyper compliqué, murmure-t-elle l'air plus sérieux.

— Bien sur que si je comprend, je serais le premier à en subir les conséquences si jamais quelqu'un viendrais à le découvrir.

Si quelqu'un nous attrape ensemble à nous enlacer comme nous le fessons en ce moment c'est moi qui aura des problèmes.

Elle est mineur, je suis le professeur.

Je suis l'adulte, tout le monde pensera qu'elle a était forcer de passer du temps avec moi ou que je l'ai harcelé.

Moi aussi j'ai peur.
Ce boulot de professeur est la seule choses qui m'aide à rester debout mais si notre rendez-vous secret ainsi que le baiser que nous avons partagé est dévoiler, je serais dans la merde.

— Je ferais mieux de rentrer chez moi. Il est tard et je suis fatiguée.

Mes sourcils se froncent.

— Tu ne veux pas rester encore un petit peu ?

— Non, je... je préfère rentrer, lance-t-elle.

Elle a l'air inquiète et déboussolée par cette histoire.

— Victoria, il faut que-

Sans un mot de plus, elle se lève et quitte le parc en marchant rapidement vers la sortie.

Je suis troubler par son comportement.
Ça ne lui ressemble pas de s'enfuir comme ça sans lancer une petite pique rebelle qui me ferais rire.

Non, elle c'est enfuie sans rien dire.

Ennuyer, je rejoins à mon tour l'entrée du parc et grimpe dans l'habitacle de ma voiture qui est là où je l'avais garer.

VICTORIA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant