Chapitre 3

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- Coucou.

Je sursautais et regardais d'où la voix venais. Kenzo étais rentré dans une autre cabine pour monter le mur.

- Dégage.

- Pourquoi tu pleures ?

- Je ne pleure pas.

Je sortais des toilettes et regardais ma tête dans la glace. Ca va mon maquillage n'a pas coulé.

- Scar... Je suis...

- Non, ferme-la ! Surtout ferme la ! T'a réussis ce que tu voulais non ? Tu dois être heureux. C'est bon ta réussis à me faire pleurer et le pire c'est que ce n'est pas la première fois. Bravo tu peux aller dire à ton père que t'a réussi à faire du mal à ton ennemie. Bravo. Toutes mes félicitations Monsieur Lurning. Dis-je en partant.

Je claquais la porte. La sonnerie sonnait, je n'avais même pas envie d'aller en cour. Je ne voulais pas non plus rentrer chez moi pour me faire crier dessus. Alors je m'arrêtais dans le parc à côté du lycée. Et j'écoutais de la musique.

Pourquoi il a fait ça ? Pourquoi on est plus comme avant ? Pourquoi tant de haine ? Ah ! Je recommence avec mes stupides questions. Je m'énerve moi-même. Il a été trop loin. Il n'avait pas à m'insulter. Je restais quelques heures dans le parc à écouter ma musique et regarder les gens passer. Puis une heure après je rentrais à la maison.

- C'est moi ! Criai-je.

- Vien voir dans la cuisine ma chérie. Hurlais ma mère.

Je la rejoignais, elle était en train de faire la cuisine.

- Ma chérie. La famille Kurning mange chez nous ce soir. Dit-elle en souriant.

- C'est une blague ?

- Non. Tu te tiens correcte. Pas de compétition ce soir. Je veux passer une bonne soirée. Dit-elle en me regardant moi, et mon père.

- Ne t'inquiète pas chérie. Dit mon père.

- J'ai trop hâte. Dis-je d'un ton ironique.

- Ah tu ne commences pas ! S'énervais ma mère.

Je soupirais et je partais dans ma chambre. Nos familles s'invitent souvent. Ma mère adore cette famille et madame Kurning adore ma famille aussi. La compétition se passe entre nos pères. Moi sa ma toujours énervé. Ce battre simplement pour une société. Si ils se mettaient à deux ils pourraient être plus fort mais j'ai compris plus tard que ça ne pourrais pas être possible.

Avant que la compétition ne s'aggrave entre eux, Kenzo et moi étions très proches. C'était mon premier amour, ma première peine de cœur. Un jour nos pères ont décidé qu'on arrête de ce voir, alors j'ai changé d'école pour ne plus le voir. Et nos chemins se croisaient que quand on était à notre cours de Guitare et notre cours de natation. Et c'est depuis ces jours-là que notre compétition à commencer. Je voulais me battre lui faire autant de mal que son père et lui m'avais fait. C'était aussi de la faute de mon père mais il m'a toujours dis qu'il jouait avec moi, qu'il ne pensait qu'à jouer pour me battre encore plus, que c'était pour mon bien, finalement peut-être qu'il avait raison. Peut-être que son but étais juste de me faire du mal.

- Ma chérie. Hurlais ma mère dans l'escalier.

- Oui maman ? Hurlais-je à mon tour.

- Tu viens m'aider à cuisiner ?

- Je fais mes devoirs de maths.

- Bon, d'accord. Mais quand ça sonne tu vas ouvrir.

- D'accord.

Je finissais mes devoirs, préparais mon sac et mes vêtements pour le lendemain.20 heures sa sonnait, Je descendais ouvrir.

- Bonjour. Dis-je en ouvrant la porte.

- Bonjour ma belle. Dis-je madame kurning.

- Rentré.

Je disais bonjour à tout le monde sauf Kenzo. On s'asseyait autour de la table. Kenzo s'installais en face de moi. Je l'ignorais. Je regardais mon téléphone, je parlais avec Gaby et Sonia. Heureusement qu'elle me parlait parce que je ne sais pas comment j'aurais fait pour supporter ce repas.

- Je vais chercher les plats. Dis-je pour essayer de vite finir le repas

- Je viens t'aider. Dis-je Kenzo.

- Surtout pas tu restes ici ! Dis-je.

Je me levais et me dirigeais vers la cuisine.

- Tu m'expliques ce qui se passe ? S'énervais ma mère.

- Rien.

- Alors pourquoi tu t'es énervé sur lui alors qu'il voulait simplement t'aider ?

- Rien.

- Scar ! Bordel, qu'es qui ce passe depuis que t'es rentré tu fais la tête.

- Tu veux savoir pourquoi je me suis énervé ? Pourquoi je fais la tête ? Dis-je en m'énervant.

- Oui.

- Parce que le mec qui est dans le salon m'a insulté de pute. Le premier mec que j'ai aimé, le premier mec qui ma détruite ma traité de pute. Pour la deuxième fois il ma détruite. Alors excusez-moi de ne pas être joyeuse.

- Oh, il a du mal s'exprimé... Dit-elle.

Je rêve ou tu es en train de le défendre ? Il traite ta fille de pute et c'est moi la mauvaise personne ?

- Ce n'est pas ce que j'ai voulue dire et tu le sais très bien.

Je prenais le plat et le posais sur la table.

- Bon appétit. Dis-je d'un ton sec en montant les escaliers.

- Scarlette, reviens ici. Hurlais ma mère.

- Non.

Je ne vois pas pourquoi je devrais l'écoute alors qu'elle défend celui qui m'a fait du mal. Je prenais ma guitare et jouais. C'est le seule moyen de m'évader et me calmer. Puis quelqu'un toquait à ma porte.


REVANCHEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant