Chapitre 26

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Je commençais à regarder chaque photo qu'il y'avais au-dessus de son lit. Il y avait au moins 50 photos. Y'en avais de sa mère, son père, eux trois, Mathias, ses amis. Mes yeux commençait à toutes les regardé quand ils s'arrêtaient sur une photo.

- Tu l'as gardé? Dis-je en souriant et en regardant la photo.

- de?

- La photo.

- Évidemment.

Sur la photo c'était nous petit. C'est Lucie, sa mère qui avait pris cette photo.

- Tu ne l'as plus toi?

Quand j'étais petite ma mère m'a acheté un collier avec un cœur au bout qui s'ouvre et dans ce cœur j'ai mis cette photo. Je l'ai toujours sur moi, je ne veux le perdre pour rien au monde.

J'enlevais mon collier et le lui lançais. Il l'attrapait et regardait puis il me souriait.

- Allez on dort maintenant? Dit-il en allant sous la couverture.

Je me glissais à mon tour dans le lit. Je me mettais face à lui. Il me prenait la main et croisais nos doigts.

- Bonne nuit Dayvis, dit-il en chuchotant.

- Bonne nuit Kurning, dis-je en chuchotant.

Et c'est comme ça qu'on s'endormait.

Le lendemain, je me réveillais difficilement. Cette nuit j'avais dormi comme un bébé, aucun bruit ne m'avais réveillé, j'avais fait un magnifique rêve.

Je me levais de mon lit, Kenzo n'était plus là. Je regardais l'heure: 13h00. Déjà? J'ai dormis autant de temps? Je me levais et je regardais ma tête dans le miroir. J'avais vraiment une sale tête, je faisais un chignon vite fait, remettait mon tee-shirt correctement et je descendais. J'entendais Kenzo et Lucie parler, ils étaient dans la cuisine. Je rentrais discrètement mais Lucie me vit directement.

- Ma chérie! Dit-elle en me prenant dans ses bras.

- Bonjour, dis-je en souriant.

- Bien dormi? On n'a pas fait trop de bruit? Tu as faim? Tu veux manger quoi? S'exclamait-elle.

- laisse-la respirer, dit Kenzo en rigolant.

- ah oui excuse-moi, mais je suis tellement contente que tu sois là, ça fait longtemps, dit-elle d'un air triste.

- Je suis contente aussi, dis-je en souriant.

Elle me souriait aussi et je m'installais à côté de Kenzo. Elle me servait un verre de jus- d'Orange et des pains au chocolat.

On commençait à discuter de tout et de rien, on rigolait bien. Qu'es que cette ambiance, cette maison m'avais manqué, je n'étais pas rentré dedans depuis qu'il m'avait tourné le dos, en quelque sorte.

- Vous vous fréquenter? Dit-elle en buvant sa tasse de café.

- Maman! S'écria Kenzo.

- Quoi? Dit-elle sans comprendre.

- ça ne se demande pas, dit-il.

- oh c'est bon ! T'es mon fils et elle s'est comme ma fille alors je ne me gêne pas.

Je lui souriais. Cette femme est tellement une boule d'énergie, de sourire. Je l'aime trop!

- Si on ressort ensemble tu ne crois pas que ça sera impossible? Demanda Kenzo.

- et pourquoi?

- Fabrice (mon père) et papa.

- ne me dite pas que vous mettez des barrières pour eux?

On baissait instinctivement la tête.

- Vous êtes complètement bête.

- Lucie, tu sais très bien qu'on ne peut pas. On a été séparé une fois et on a souffert tous les deux. Alors pourquoi retenter?

- Écoute moi bien ma chérie. Si ils veulent vous séparé moi et ta mère on sera les première à leur crier dessus. Si c'est deux abrutis ne savent pas faire la différence entre le travail et la vie privé on s'en contre fiche.

Je regardais Kenzo qui lui aussi me regardait. Puis il changeait de discussion. Une fois fini notre petit déjeuné fini on montait en haut. J'allais me laver et je remettais ma robe de la veille. Une fois fini je retournais dans sa chambre. Kenzo était assis au bord de son lit.

- Ça ne va pas? Demandais-je.

- Je crois qu'il faut qu'on parle Scarlette, dit-il.

Oh oh sa sens mauvais. Je m'asseyais a côté de lui et j'attendais qu'il parle.

REVANCHEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant