Chapitre 61

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Je ne comprenais pas où elle voulais en venir.

- Compris quoi?
- Toi, Kenzo. J'ai compris.

Oh oh. Es que je fait la fille qui balance tous ou la fille qui ne vois pas de quoi elle parle ?
La deuxième option me paraît la meilleure.

- Je vous demande pardon?
- Je t'aime énormément mais j'aime encore plus mon fils alors sache que je te le confie les yeux fermés parce que je sais que tu en prendra soin ! Tu as ma bénédiction et j'espère que ce singe prendra soin de toi.
- C'est qui le singe ? Demanda Kenzo.
- Toi mon chéri, dit sa mère en souriant.
- Vous parliez de quoi ? Dit-il.
- De vous.
- Nous?
- Tu es griller mon chéri je te rappel que c'est moi qui t'es fait alors je te connais par coeur tu ne peux rien me cacher et encore moins cette bouille d'Ange, dit-elle en me regardant.
- Tu as compris ? Dit-il inquièt.
- Oui et sache que je suis très heureuse ! J'attendais ce moment depuis si longtemps, et tu sais très bien ce que je pense de cette demoiselle et que je ne veux qu'elle comme belle fille !
- Alors heureux que mon choix te plaise, dit-il en me collant à lui.
- Vous êtes si mignon !
- Tu rentre quand sinon? Demanda Kenzo pour changer de sujet.
- Demain, maintenant les médecins nous laisse partir tôt, dit-elle exaspéré.
- Bon je vais vous laisser, dis-je en souriant.
- Passe à la maison quand tu veux ma belle fille !
- Maman, dit-il gêner.
- Quoi mon chéri?  C'est vrai !
- Ça ne fait même pas 24 heures force pas comme ça.
- C'est la femme de ta vie.
- C'est toi la femme de ma vie maman.
- Tu es comme ton père le roi des disquetteurs, dit-elle en rigolant.
- Au revoir, dis-je en lui faisant la bise.
- Ma chérie tu as interdiction de me vouvoyer.
- D'accord, dis-je en rigolant.

Je partais et Kenzo décidais de me suivre pour laisser sa mère se reposer.

- Tu ne vas pas t'enfuir sans me faire mon bisous, dit-il en me prenant par la taille.
- Je devrai moi aussi m'enfuir, chacun son tour, dis-je en croisant mes mains derrière sa tête.
- Alors comme ça je suis moche ?
- On va pas se le cacher, dis-je fière de moi.
- Ouais mais moi j'ai été élu roi toi non, tu es ma boufonne.
- Mais va te faire voir, dis-je en rigolant.

Il s'empressait de m'embrasser.

- Scarlett ? Kenzo.

On ce retournais rapidement.
- Maman ? Bredouillai-je.
- Oui, dit-elle en souriant. Vous faisiez quoi là? 
- En faite... dis-je en cherchant une excuse.
- J'ai quelque chose dans l'oeil, dit-il en ce frottant l'oeil, alors j'ai demandée à Scarlett de regarder et elle était en train de souffler.
- Mh d'accord, dit-elle.
- Tu viens faire quoi ici?
- Voir ta Lucie dit-elle.
- Ah d'accord.
- Vous deux c'est pas trop tôt il était temps ! Dit-elle en partant.
- Bon...je crois on est grillée, dit Kenzo en rigolant.
- Super ! Dis-je ironiquement. Je me détachais de lui et partais vers la sortie de l'hôpital.
- Je peux savoir ce qu'il ce passe ? Dit-il en m'atttapant le poignet pour que je m'arrête.
- Ça ne fait même pas 24h et nos mères sont déjà au courant !
- Hé ce n'est pas de notre faute si elles nous conaissent trop.
- Je ne voulais pas que sa se sache, imagine si nous deux ça ne marche pas elles vont tellement être déçue.

Il m'embrassais pour que je ferme ma bouche.
- Ça tiendra entre nous, d'accord !
- J'espère, chuchotai-je.
- On a rendez-vous avec les deux abrutis.

Il venait avec moi puisque il était venu avec son père.

- On leurs dit alors ? Demandai t-il.
- Je te rappel que tu m'as embrassé devant tous le lycée !
- Ah oui, dit-il en rigolant. Mais avoue ta kiffer.
- Franchement ? Pas du tout ! En plus tu puait de la gueule !
- Sérieux? Dit-il inquiét.
- Mais non, dis-je en rigolant.

On roulais jusqu'au parc ou on avais l'habitude de ce rejoindre tous les quatres.

- Attend je met ma musique ! Dit-il en branchant son téléphone.

Je le laissais faire en passant qu'il mettrait de bonne musique ou du moins de notre génération..

- J'IRAI OU TU IRAS MON PAYS SERA TOI ! J'IRAI OÙ TU IRA QU'IMPORTE LA PLACE ET QU'IMPORTE L'ENDROIT, Chantait-il en dansant. Attend je met autre chose.
- Oui s'il te plait.
- ON VA S'AIMER SUR UNE ÉTOILE OU SUR UN OREILLER AU FOND D'UN TRAIN OU DANS UN VIEUX GRENIERRRR OHOH.
- Mon dieu... Tu veux jouer à mettre les vieilles musique ? Dis-je en coupant sa musique.
- Pourquoi?  Dit-il avec un air joueur.

J'arrachait son téléphone et mettais MA musique. 😏

- TOUTES LES NUITS JE PENSE À TOI TOUTES NUIT JE RÊVE DE NOUS DEUX TOUTE LES NUITS JE PENSE À TOI TOUT PRÊT DE MOI JE NE NOUS VOIS TOUS LES DEUX, chantai-je au rythme de la musique.
- Attend ! Dit-il en coupant ma musique.
- Quoi encore ?
- J'y crois pas comment chuis bo 
Le Mec parfait, zéro défaut 
Putain comme chuis bo 
Je dédicasse ce morceau au bo-goss que je suis 
J'ai trop de sex-appeal, quand je me regarde parfois je jouis 

Et c'est comme ça que le chemin ce passais... une bataille de musique c'est bien comme premiere journée en couple non ?

On arrivais au parc et on cherchais les deux zinzins.

- Regarde ils sont là-bas, ils sont avec qui? Demanda t-il.
- J'en sais rien, dis-je surprise.

REVANCHEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant