Chapitre 25

53 4 0
                                    

Alors il avait entendu ? Il avait écouté ? Je ne sais pas ce que je pense, je ne sais plus, je suis complètement perdu. Malgré tout Kenzo est un homme adorable dont beaucoup de fille voudra avoir. Il est beau, gentil, attentionné, drôle, protecteur. Que demandez de plus? Rien.

Mais est-il vraiment utile de tenté le diable?

- Répond moi, Scarlette.

- Tu as écouté?

- ce n'était pas mon but, j'ai juste été prendre un verre et j'ai entendu...Alors c'est ce que tu penses? Dit-il en me regardant dans les yeux.

- Kenzo... dis-je en baissant la tête.

- Scarlette ! Répond moi parce que les nerfs vont monter là.

- Kenzo j'ai un mal de tête horrible, je suis fatigué alors je te demande une faveur. Cette discussion on pourra l'avoir demain s'il te plaît?

- D'accord, viens je te dépose.

Je lui souriais. On allait prendre nos manteau, prévenir les autres et on était en route. Sur la route il n'y avait aucune discussion. Il était environ 5 heures du matin, j'étais complètement épuisé. J'avais passé une merveilleuse soirée.

Une fois arrivé il se garait devant chez lui, vue que ma maison était juste en face de chez lui, j'avais juste a traversé la route pour être chez moi.

- Merci de m'avoir ramené, bonne nuit Kenzo.

- bonne nuit Scar.

Je lui lançais un sourire, il rentrait chez lui et moi aussi. J'essayais d'ouvrir la porte mais elle était fermée à clés. Je cherchais alors mes clés. Mes poches? Rien. Mon sac? Rien. Oh non non je l'ai est oublié. Je vais faire comment? Je dors ou? Chez qui? J'ai plus qu'une solution.

Je sortais mon téléphone et je l'appelais. Au bout de deux sonneries il répondait.

- Kenzo ! Je suis débile, j'ai oublié les clés chez moi et je ne sais pas comment rentrer, mes parents dorment et je ne veux pas les réveiller parce qu'ils travaillent demain. Normalement j'aurai appelé Gabrielle ou Sonia mais Sonia doit être avec Mathias, Gabrielle doit être avec le gars qui la coller toute la journée. Je sais pas quoi faire, ou allée, dis-je sans m'arrêté.

- Starlette! Respire. Viens chez moi.

- je ne veux pas dérangé.

- ferme la et viens, tu connais le chemin, dit-il en raccrochant.

Je traversais la route, je rentrais discrètement, enlevait mes chaussures à talons et montait les escaliers sans faire de bruit.

Cette maison je la connais par cœur, j'ai grandi ici. Je rentrais dans sa chambre. Il était torse nue.

- Au pardon ! Dis-je en me retournant.

- t'es sérieuse? Dit-il en rigolant.

- Quoi? Dis-je toujours dos à lui.

- mais retourne-toi.

Je fermais les yeux et me retournais. Je l'entendais rigoler, alors j'ouvrais les yeux.

- Tu me fais rire, t'es trop mimi à être gênée juste parce que je suis torse nu, dit-il en rigolant.

- Tu m'excuseras mais je ne vois pas tous les jours un garçon torse nu, dis-je en souriant.

Il me souriait. La chambre de Kenzo avait bien changé. Il avait un grand lit deux place, en face de celui-ci il y avait un canapé et au-dessus du mur un écran plat. Puis il y'avais des étagères, des photos au-dessus de lui.

J'avançais et posais mon sac sur le canapé et je m'asseyais.

- tu fais quoi là? Dit-il en me regardant.

- Hein? Dis-je incrédule.

- Va te lavé et va dormir.

- Non. Je vais attendre qu'il soit huit heure pour que mes parents se réveille et j'irai dormir. Toi dort.

- Non. C'est mort tu dors ici.

- Non et puis je ne pense pas que sa enchante tes parents que je sois là.

- Ma mère t'adore elle sera contente et puis mon père tu ne le verras pas, il commence à 9 heures et il ne rentre pas avant 20 heures. Allez va te lavé.

- je n'ai pas de pyjamas.

Il allait me prendre un tee-shirt à lui et il me le donnait. Je le remerciais et allais me laver.

Son tee-shirt m'arrivait au-dessus du genou. Il est très grand et musclé et moi à côté de lui je suis une crevette, je suis petite et toute fine. Donc son vêtement m'allait parfaitement.

Une fois fini de me laver je sortais de la salle de bain et retournais dans sa chambre, il était sur son téléphone dans son lit.

Je rentrais et fermais la porte, j'examinais sa chambre dans chaque détail.

La dernière fois que je l'ai vue il y'avais une mezzanine, des peluches, voiture partout. Et maintenant tout est bien ranger, rien ne traîne, C'est devenue un vrai homme.

REVANCHEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant