Chapitre 65

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Quelque jours plus tard nous étions tous autour de la table à rigoler jusqu'à ce que Kenzo se lève.

- J'ai quelque chose à vous annoncer, dit-il en élevant la voix pour que tous le monde l'écoute.

Tous le monde fermais sa bouche pour l'écouter.

- J'ai été appelé ce matin et ce que je redoutais le plus est arrivée, je ne pensais pas si tôt d'ailleurs. L'université de mes rêves ma contacter, ils me veulent dans leurs locaux, j'aurai même un appartement de loué à leur frai mais je dois me rendre le plus tôt possible c'est à dire dans deux heures, mes valise sont déjà prête.

Waouh, le coup de massu. En une semaine je deviens célibataire, l'homme que j'aime va encore une fois fuir, dans cette semaine je venais de tout perdre.

- Deux heures plus tard -
Nous étions tous à l'aéroport à attendre le vol de Kenzo.

- Le vol en destination de Los Angeles embarquera dans quelques minutes, dit une voix dans l'aéroport.
- je crois bien que sais l'heure.
- tu reviendra nous voir, dit Gabrielle en pleurent.
- Bien-sur ! Je te confie mon frère, dit Kenzo en faisant alusion à Mathias.
- On ce revois vite beau goss, dit Tom en le prenant dans ses bras.
- T'inquiète et tu remerciera t'es parents pour nous avoir suporter une semaine.
- Ce sera fait.
Benjamin et lui se faisais une simple accolade.
- Tu vas énormément me manquer mon frère, dit Mathias en le prenant dans ses bras.
- Toi aussi mais on va ce revoir très vite. Prend soin de toi et de tous le monde frère.
- Compte sur moi.

Il se postait devant moi et me regardait.

- On t'attend dans la voiture, dit Tom.

Je ne prenais pas la peine de répondre.

- Bon Salut, dit-il en me faisant la bise.
- Salut.

Puis on partait chacun de son côté.
RÉVEILLE TOI
RÉVEILLE TOI BORDEL ! Cria mon coeur.

- Kenzo ! Criai-je en courant vers lui.
Il ce retournais vers moi et je me jetais dans ses bras, il me portait et je croisais mes jambes derrière son dos.
Je l'embrassais, c'était mon baiser d'adieu, mes larmes coulait toute seules.
À bout de souffle on ce detachais et il me reposais par terre.
- Adieu, dis-je en le laissant partir.

Je restais jusqu'à ce que l'avion s'envole, puis je retournais vers les autres qui m'attendais dans la voiture, sans un mot on rentrait à la maison le coeur lourd.
Je partait directement dans ma chambre mais au bout de dix minutes quelqu'un toquait à la porte.

- Prend un pull et viens avec moi sans discuter, dit Tom. Je t'attend en bas.

Je prenais un gros pull noir et je le rejoignais en haut.

- Vous allez oú? Demanda Maria.
- J'emmène mademoiselle prendre l'air.
- Tu as bien raison elle en a besoin ! Faite attention mes enfants.

Je lui souriait et je le suivais dans dire un mot.

- J'allais là-bas avant quand j'avais besoin de réfléchir.

On ce dirigeais en silence sur la plage, on escaladais les rochers et il s'asseyait.

- C'est ici ?
- Oui. Assied toi.

J'executait sans ronchonner. Les lumières du port éclairait la mer, le vent frais venez me caraisser le visage, le bruit des vagues s'échouent sur le sable me détendait.

- Si je suis parti de cette endroit paradisiaque c'est... dit-il en marquant une pause et en regardant la mer.
- Parce que tes parents ne comprenait pas ton amour pour le surf tu nous l'avais dit.

Un sourire triste s'affichait sur son visage et il baissait la tête pour regarder ses doigts.

- Pas vraiment, enfin si. C'est mon père qui m'a inscrit quand j'avais cinq ans, il a toujours aimé le surf, dès qu'on pouvais on venait ici faire du surf.
- Mais pourquoi il ne ta pas laissé faire ce que tu voulais alors?
- Il y'à deux ans j'étais ici avec trois de mes amis, dit-il en montrant un point précis sur la plage. J'étais avec Sianna, Leo et Kessy. Nous quatre nous étions inséparable, on était toujours fourer les uns chez les autres, j'ai grandis avec eux. Mes parents les considéraient comme leurs enfants. Ce jour là, il faisais beau, on avais décidé de venir pique-niquer à la plage. Avant de manger je leurs avait proposé d'aller faire du surf, Léo et moi étions des adeptes du surf mais autant de dire que les filles s'était autre chose, dit-il avec un rire nostalgique. La pire c'était Kessy elle aimais vraiment pas l'eau, mais ce jour là je les forcé alors elle a fini par cédé, elle a pris sa planche et nous à suivis mais avec sa force de mouche elle à été emporté par le courant, elle c'est débattu mais sa tête à heurté un rocher, elle est morte sur le coup, dit-il en baissant la tête. 

- Je suis désolé, dis-je les larmes au yeux.
- Moi aussi, dit-il en chuchotant, moi aussi.
- Qu'es devenu Léo ?
- Après cette accident il m'en à voulu d'avoir forcer pour quelle vienne alors il ne ma plus jamais adresser la parole. Sianna et moi nous avons lié une relation très fusionnelle, on a tous les deux essayé de remonter la pente mais je ne pouvais pas rester ici, mon père m'en voulais mais il n'osais pas le dire, il m'interdisait de faire du surf alors que j'en avais besoin alors un soir j'ai pris mes affaires, j'ai écrit un mot pour mes parents et un pour Sianna puis j'ai pris la route et rouler jusqu'à ma nouvelle vie.

- Tu es si courageux d'avoir affronté ça tout seul, dis-je en posant ma tête sur son épaule.
- Tu sais, quand je te regarde j'ai l'impression de la voir et quand tu as rencontré mes parents vous avez eu l'alchimie qu'ils avaient avec elle.
- Elle était comment?
- Belle, oh sa oui, elle faisait tomber tous les garçons mais elle n'en voulais aucun elle était trop occupé sur ses études et sur le volley, elle avais des yeux vert tellement magnifique qu'elle pouvais t'hypnotiser, elle était gentille, tout le temps la joie de vivre, elle laissait toujours le sourire sur son passage, elle était drôle et aussi très empathique, toujours là pour aidé les plus démunis.
- J'aurai adoré la rencontré.
- Tu l'aurais énormément aimé.

Je souriait et lui déposait un baiser sur sa joue.

- Merci de m'avoir confié tout ça.
- Merci de m'avoir écouté.
- Sinon il ce passe quoi avec cette petite Sianna?
- Je te demande pardon ?
- Tu crois j'ai pas vue ton petit jeu avec elle, dis-je en lui mettant un coup de coude.
- Arrête,  dit-il en baissant la tête et en souriant.
- C'est une fille bien.
- Trop pour moi.
- Bien-sûr que non, tu mérite amplement une fille comme elle, Tom de tous les garçons que j'ai rencontré tu es le meilleur. Tu es attentionné,  gentil, drôle, beau, admirable. Moi qui n'est pas eu de frère et soeur crois moi que tu es le frère que j'ai choisis.
- Chouchou ! Dit-il en me prenant dans ses bras.

Après cette soirée pleine de rebondissement on décidais de rentrer à la maison.

REVANCHEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant