Chapitre 49

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Coucou, je voulais m'excuser de mettre du temps à poster les chapitres mais je n'es plus de chapitres en avance alors je met souvent 2 à 3 semaines à en écrire un donc c'est assez compliquer de poster régulièrement. Bonne lecture, Bisous baveux.

- Viens sur mes genoux.

Euh ? Je regardais qui venais de parler et à ma grande surprise c'était Benjamin. Tout le monde attendais à ce que je face quelque chose mais mon corps n'arrivais pas à avancer.

- Scar viens par là quelque minutes, dit Kenzo en ce levant.

J'interrogeais Gabrielle du regard qui haussais les épaules en signe d'incompréhension, je le suivais donc sur la plage, il s'asseyait en tailleur et regardais la mer. Je m'asseyais à côté de lui et écoutais le bruit de la mer, le silence était présent, Kenzo faisais glisser le sable entre ses doigts.

- Qu'es qu'il ce passe, Kenzo? Demandai-je au bout de cinq minutes de silence.

- Rien. Enfin, si, peut-être, j'en sais rien.

- Pourquoi tu ne m'adresse plus la parole, même pas un regard depuis que Émilie ta parler ?

- J'en sais rien. Quand elle s'est mise à côté de moi, qu'elle a commencer à me rappeler mon comportement, mes paroles que j'avais pu avoir, le sale gamin que j'ai pu être ça ma... fait réfléchir.

- Tu veux dire quoi par là?

- Tu vois Scarlette, dit-il en ce retournant vers moi. J'ai un don pour faire fuir les personnes que j'aime réellement, j'ai le don pour tout casser au moment idéale, là par exemple je sais que je vais casser ton morale, ta bonne humeur et donc casser l'ambiance joyeuse qui s'y trouve dans cette maison, dit-il en la montrant du doigt. Quand j'étais en "couple", si on peux appeler sa comme ça, avec Émilie je m'en moquais de ce qu'elle ressentais, quand j'étais en soirée et que je couchais avec des filles je m'en moquais de ce qu'elles ressentaient, quand je buvais et que je me battais avec des mecs j'espérais qu'ils avaient mal et qui souffraient autant que moi je souffrais, quand je me droguais j'espérais que j'allais enfin oublier tous mes problèmes, tous mes malheurs. Je suis égoïste, tu comprend ça. Et depuis qu'elle m'a parler je me suis remis en question.

- Quel genre de remise en question ? dis-je inquiète.

- Nous.

- Mais encore?

- Depuis que tu as sur la vérité, depuis que nous nous somme retrouvés on s'efforce à retrouver notre complicité d'avant, et même si je tiens à toi et qu'on à toujours une complicité on ne pourra jamais réellement retrouver celle que l'on a perdu je ne veux plus pourrir ta vie, je ne veux plus être un poison pour toi alors je pense sincèrement que ce serai mieux de s'éloigner.

- Tu veux dire quoi par là? Tu veux qu'on arrête de ce parler? Demandai-je.

- Oui.

- Mais pourquoi ? demandai-je choquée.

- Je nuis à ta vie, je suis à poison Scarlette, et tu ne pourras pas être heureuse si je suis dans les parage, tu avais raison quand tu m'as dit que j'essayais de te protéger mais c'est moi qui est le plus dangereux pour toi. Alors désormais je te laisserai tranquille.

- Tu racontes n'importe quoi Kenzo, tu n'est pas un poison pour moi, au contraire ! Tu m'as ouvert les yeux, tu m'as appris la vérité, tu m'as toujours protégé face à quinconce, quand je t'es dit cela c'était dans des circonstances particulière.

- Tu as tord Scarlette, dit-il en ce levant.

- Non Kenzo ! c'est toi qui à tord, je comprend pas, à quoi tu joue? pourquoi tu fais ça ?

- Je ne suis pas un mec bien ! Cria t-il.

- Mais tu ne m'as jamais fait de mal bordel !

Il me regardais avec regret et il repartais vers la maison. J'allais vers la mer, je plongeais mes pieds dedans. Je ne comprend pas, quel est son problème ? Pourquoi me faire, NOUS faire du mal alors que tout va bien ? pourquoi tout gâcher?

- Ça va ? Dis une voix dans mon dos.

Je me retournais, c'était Benjamin.

- Ouais, dis-je en soupirant.

Il me prenais dans ses bras sans rien dire. Bizarrement c'est exactement ce que j'avais besoin à ce moment là, je ne voulais pas parler j'avais juste besoin d'un câlin.

- On rentre ? demanda t-il.

- Oui.

- Monte sur mon dos, ta les pieds mouiller le sable va se coller à tes pieds.

- C'est pas grave.

- Tom à fait le ménage hier alors ne va pas salir sa tendre maison ! dit-il en rigolant.

Je rigolais et montais sur son dos puis on rejoignais les autres. Ils étaient tous en train de boire leurs bière.

Je décidais de ne pas me prendre la tête ce soir, j'allais passer une soirée avec mes amis et laisser les histoires, les prises de tête de côté.





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