Chapitre 59

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Devrai-je lui sauter dans les bras ? Lui dire que moi aussi je l'aime ? Ou au contraire lui dire que nous deux c'est impossible... entre nos familles, et puis la Fac on va sûrement changer de ville tous les deux.
On restait ce regarder pendant un instant, aucun de nous deux ne savez quoi dire ni comment réagir.

- Pourquoi tu pleure ? Dit-il en essuyant la larmes qui roulait le long de ma joue.
Je ne me rendait même pas compte que je pleurais.
- Hé ne pleure pas, dit-il en me prenant dans ses bras.
-Kenzo, dis-je en chuchotant.
Il resserait son étreint.
- Je...
- T'es pas obligé, dit-il en me coupant.
- Comment ça?
- J'ai compris que j'aurai pas du dire ça maintenant et de façon si...romantique.
- Au contraire ! Écoute je compte pas faire une déclaration comme la tienne et de toute façon je ne pourrai pas mais tous c'est truck bizarre qu'on ressens quand on est sois disans amoureux ou attirer pour une personne je les ressentis quand tu m'as embrasser mais j'ai peur Kenzo...peur que si ça ne marche pas notre amitié se déchire, peur de nos parents et peur du futur...
- Scarlett, Scarlett, Scarlett, dit-il en prenant mon visage dans ses mains. Nos parents je m'en moque, ton père ne dira plus rien, mon père t'adore il fait que de me parler de toi depuis qu'il sais que tu es ma cavalière. Si ça ne marche pas je t'en fait la promesse qu'on restera en contact, regarde notre parcours avec tous ce qu'on à vécu on es quand même réuni alors c'est pas un petit truck comme ça qui va nous sépare, crois moi. Et pour le futur on peut pas savoir mais une chose est sur c'est que si on ne tente pas on risque de le regretter tôt ou tard.
Il regardait dans mes yeux, je pense même qu'il cherchais une once d'émotion ou une réponse mais rien. C'était le néant dans mes yeux comme dans ma tête.
Je l'embrassais, je sais pas pourquoi sûrement parce que j'en avais besoin, que ce baiser vallait plus que certaine paroles, certains mots.
Au début il était surpris mais il répondais très vite à mon baiser.
- Ça signifie quoi?
- À ton avis nounouille.
Il rigolant et me portait pour me tourner dans les airs je rigolais comme une petite fille.
- On devrait rentrer, dit-il.
J'acquiesai et on décidais de rentrer, nous avions juste à allez au bout de la rue donc en une minutes nous étions déjà devant nos maison.
- Merci pour cette soirée, dis-je en souriant.
- Merci à toi, dit-il en déposant un léger baiser sur mes lèvres.

Je traversait la route pour rentrer chez moi quand on entendait un hurlement aigu dans la maison de Kenzo. Je me retournais et on courrait jusqu'à sa maison.
On montait très vite à l'étage, sa mère poussais encore un crie alors on pressait le pas, Kenzo ouvrais la porte de sa chambre, elle était debout et se tenait le ventre qui avais bien grossis depuis les mois.

- Qu'es qu'il ce passe? Demanda Kenzo perdu.
- Elle va accoucher abrutis ! Dis-je en courant vers elle pour l'aider.
- Ok.Ok. Ok, dit-il en faisant les cents pats.
- KENZO ! Dis-je en criant.
Il frenait sec et me portait toute son attention.
- Il ya un sac de prêt pour la maternité?
- Oui, il est là, dit-il.
- AAAAAAAH, cria Lucie.
- Donne moi le sac et porte ta mère jusqu'à la voiture, ordonnai-je à Kenzo.

Je n'attendais pas ça réponse et courru jusqu'à la voiture, j'ouvrai les portes de la voiture, je démarrait la voiture, en même temps j'appelais le père de Kenzo qui était à son boulot.
Kenzo la posais sur le siège arrière.

- Conduit, je peux pas avec ma robe, dis-je en montant derrière.
Je posais sa tête sur mes genoux et lui carressais les cheveux.

- Tu es magnifique, dit-elle avec difficulté.
- Merci, dis-je en souriant. Votre mari nous rejoins à l'hôpital.
Kenzo roulait tellement vite qu'on arrivais la bas en moins de cinq minutes, Marc, le père de Kenzo arrivais en même temps. À l'aide de ses muscles il portais sa femme et courrait jusqu'à la maternité suivis de très prêt par Kenzo et moi.

Les médecins la prenait directement en charge histoire qu'elle n'accouche pas dans le couloir. Kenzo faisais des allez retour dans le couloir.

- Kenzo, dis-je en me mettant devant lui. Ça va allez.
- Non imagine il ce passe quelque choses, où le bébé va pas bien ?
- Hé ça va allez ! Dis-je en lui prenant ses mains. Elle est avec de bon médecin, ya ton père tout va bien ce passer tu à juste à patienter.
- Merci, chuchotais t-il en s'asseyant.
- Pour ?
- D'être venu avec moi, je ne sais même pas comment j'aurai fait tous seul.
- Hé c'est normal ! Je doit bien soutenir mon amoureux et aidé ma belle mère non? Dis-je en souriant.
- "mon amoureux" ça sonne plutôt bien, dit-il en souriant et en me tirant pour que je m'asseoie sur ses genoux. Scarlett tu es bien mignonne mais tu prend sacrément de la place avec ta robe.
- Oui tu as raison, promis la prochaine fois je viendrai en jogging.
- Tu as moyen d'être grave bonne en jogging, dit-il en rigolant.
- Si c'est dit par le roi de la soirée alors.
- Ouais toi t'es trop moche pour être élu reine de la soirée.
- Oh tu m'as briser le coeur, dis-je en faisant semblant de pleurer.
- Pleure pas tu vas être encore plus moche.
- Mais quel con, dis-je en le tapant.
- Je sais, dit-il en rigolant.

Au bout d'une demi heure son père arrivait en courant, on ce levait à toute vitesse puisque j'était encore sur ses genoux.

- Tout c'est très bien passer, dit-il en souriant.
- Ouf, soupirai Kenzo.
- Un petit garçon, tu vas avoir un petit frère, dit Marc en regardant avec fierté Kenzo.

Je me reculais un peu pour les laisser entre eux et regarder cette magnifique scène.

- Il s'appel comment ?
- On veux que ce sois toi qui choisisse le prénom, viens le voir, dit son père.

Kenzo ce retournais vers moi.

- Fonce, dis-je en souriant.
- Viens avec nous ! Ordonnai-je Marc.
- Non allez-y, j'attend ici.
Je ne voulais pas allez pour les laisser en famille.
- Pourquoi tu ne veux pas venir ? Demanda Marc.
- Je préfère vous laisser en famille.
- Ferme là tu fait partie de la famille dit Kenzo en me prenant la main et en me tirant pour que j'avance.

On allais jusqu'à la salle ou tous les bébés dormais.

- Il est là, montra Marc.

On voyais un petit bébé habillée avec un body bleu et un bonnet blanc. Il était magnifique.
Kenzo rentrait dans la salle ou une infirmière lui donnais une tenu pour qu'il puisse porter son petit frère.
Moi et Marc nous restions derrière la vitre, Kenzo portait son petit frère il avais un sourire que personne pouvais lui enlève.
Je prenais une photo des deux frères malgré la tenue horrible de Kenzo la photo était magnifique.

- Félicitations, dis-je à Marc.
- En tout cas merci énormément.
- Pourquoi donc ?
- Pour avoir pris soin de ma femme et de prendre tous les jours soin de mon fils, dit-il en me regardant.
- C'est normal, dis-je en souriant.
- Tu sais depuis que Kenzo à renouer avec toi il est toujours de bonne humeur, tu apporte que des choses positif quand tu passe quelque part tu as ce talents pour mettre de bonne humeur tous le monde.
- Merci beaucoup monsieur, dis-je gêné.
- Arrête de m'appeler Monsieur et pareil pour Lucie. Tutoie nous, tu sais très bien que tu es la bienvenue chez nous, tu fais partie de notre famille, dit-il en me prenant dans ses bras.
- Merci, dis-je en souriant.

De ce côté la guerre était fini restait plus que ma famille...

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