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La première fois que j'ai publié ce chapitre j'avais oublié la citation du coup j'ai annulé la publication pour le republier ensuite.Pas d'inquiétude si vous avez eu une notification qui vous amenait sur un beug :)

Les seules vraies réponses sont des questions.

Ma langue jouait encore avec la sienne quand je la soulevai,tenant fermement ses fesses dans mes mains, avant de l'assoir sur mon bureau.
D'un mouvement du bras,je jetai tous les papiers présents sur mon bureau.

Il y avait plus important que l'apparence d'un rangement inutile.

D'une pression sur son épaule,je l'incitai à se coucher sur mon bureau.
Je saisis le ourlet de son haut,simplement gris,avant de le remonter laissant apercevoir une lingeries bien moins catholique.
Je relevai la tête et croisai son regard.De ses yeux ressortaient son trop plein d'amour,comme si son cœur n'était pas assez grand que pour le contenir.Soudain,je me rendis compte de la chance que j'avais d'avoir cette fille.
Ce jour là,je lui fis l'amour sur mon bureau et,malgré ma peur de l'avenir,je sus que jamais aucunes de mes conquêtes ne m'avait rendu aussi heureux qu'au moment même.

Le lendemain,je me réveillai aux côtés d'Elisabeth,dans son lit.
Je me soulevai sur un coude pour la regarder dormir.Elle semblait si paisible ainsi endormie.Son visage,plus proche du rond que de l'ovale,ses yeux bordés de long cils,sa lèvre inférieure plus pulpeuse que celle du dessus,son nez en forme de pyramide,tout était parfait chez elle.

- Ne me regarde pas quand je dors,je suis encore plus moche.

Je rigolai tout en me laissant tomber sur le dos à côté d'elle.

- Tu es magnifique Elisenka.

Elle me sourit gênée.

- Qu'est ce que tu comptes faire aujourd'hui ? Me demanda-t-elle d'un ton enfantin.
- Je vais interroger le garde.

Soudain,une ombre passa dans ses yeux.

- Vladimir,commença-t-elle fébrilement.
- Oui.
- Je sais qui l'emploie.

Je me tus,l'incitant par mon silence à m'en dire plus.

- Je ... j'ai vu Polina,elle est entrée dans ma cellule et ...
- Ça suffit Elisabeth ! La coupais-je d'une voix sèche.

J'enfilai mon pantalon au dessus de mon caleçon avant de continuer :

- Je sais que Polina n'aurait pas dû mentir sur notre statut mais ce n'est pas pour cela qu'il faut l'accuser de tous les maux du monde.

Sans lui laisser le temps de gâcher encore plus ce moment,je sortis de sa chambre.
Tout en marchant dans le long couloir,je me rendis compte que derrière ma frustration se cachait autre chose,comme une étincelle d'hésitation.
Et si Elisabeth disait vrai ?
Pour m'ôter tous doutes,je gravis les marches de l'escalier,m'emmenant au dernier étage de la maison. Une fois dans ma chambre,je m'habillai rapidement et revêtis,comme d'habitude,mon éternel costume bleu marine avec en dessous une chemise entre le blanc et le bleu claire.

 Une fois dans ma chambre,je m'habillai rapidement et revêtis,comme d'habitude,mon éternel costume bleu marine avec en dessous une chemise entre le blanc et le bleu claire

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Quand je descendis,un de mes chauffeurs attendait déjà dans une de mes nombreuses voitures.
À peine fus-je rentré dans le véhicule qu'il me demanda déjà où il devait me conduire.

- A l'entrepôt.

Il hocha la tête et démarra la voiture.

Aujourd'hui,j'allais enfin avoir le cœur net.

La protégée du diable.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant