Et en un claquement de doigts tout disparaît.
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Si seulement vous pouvez savoir à quel point cela m'avait anéanti. Je n'arrivais pas à le croire.
J'étais tellement choquée que je n'ai pas pris de photo pour avoir une preuve. J'avais trop la haine, ah non je crois bien que ce n'était même plus la haine non, enfaite c'était de la rage.
Selah - Akeelah ...
- Comment est-ce qu'il peut me faire ça ? Qu'est-ce que j'ai fais ?
Je n'en revenais pas, je voulais descendre de la voiture pour aller le voir, je voulais qu'il m'explique ce que je lui avais bien fait pour qu'il me fasse souffrir autant.
Selah - Ne fais surtout pas ça !
- Je ne peux pas le laisser continuer à faire ça ! Pour quoi est ce que je passe moi maintenant ?
Selah - Ne fais rien tu finiras par le regretter.
- C'est lui qui va regretter d'être né ! Je vais le tuer !
Ensuite je l'ai vu prendre son téléphone pour appeler quelqu'un et j'ai ensuite senti mon téléphone vibrer dans ma poche.
J'ai regardé pour savoir qui s'était et j'ai vu que c'était lui. Je ne voulais pas décrocher mais vraiment pas sinon j'allais l'insulter.
Selah - Calme toi, respire et répond.
Je me suis alors calmé et j'ai répondu en mettant le speaker.
- Allô ?
Asmâr - Akeelah ?
- Oui mon chéri ?
Asmâr - Est-ce que ça va ?
- Oui.
Asmâr - Tu es sur ?
- Oui pourquoi ?
Asmâr - Je ne sais pas tu as l'air bizarre.
- Ne t'inquiète pas mon chéri ça va.
Asmâr - Tant mieux, je voulais juste te prévenir que je rentrerai tard ce soir.
- En quel honneur ?
Asmâr - C'est le départ en retraite d'un collègue et on va fêter ça avec toute l'équipe.
- Donc tu ne mangeras pas à la maison ?
Asmâr - Non je n'y mangerai pas. Ça ne te dérange pas ?
- Non bien sûr que non tant que tout ce que tu me dis est vrai.
Asmâr - On a déjà parlé de ça Akeelah !
- Enfin bref, à ce soir chéri je t'aime.
Asmâr - Moi aussi.
- Toi aussi quoi ?
Asmâr - Moi aussi je t'aime.
