Parfois il faut savoir passer par le pire pour obtenir le meilleur.
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Le jour du mariage civil était enfin arrivé, j'étais tellement impatiente. J'allais enfin pouvoir être sa femme au yeux de l'état mais surtout nous allions pouvoir vivre ensemble.
Il était déjà 10h, j'étais assise sur ma chaise entrain de me faire maquiller, je voulais un maquillage simple et pas trop voyant mais assez voyant pour que mon mari n'est d'yeux que pour moi. Je voulais une coiffure digne d'une reine et je l'ai eu
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Pour ma robe, j'avais voulu une robe assez simple pas trop chargé mais bien sûr une robe pour femme voilée, j'étais couverte de la tête au pied mais qu'est-ce que j'étais fraîche.
J'ai vu le regard de mon mari quand il m'a vu pour la première fois dans ma robe. Il me regardait comme si j'étais la huitième merveille du monde et c'est tout ce que je voulais.
Lui aussi était très beau dans son costume, sa barbe bien taillée et ses cheveux bien coiffé. Il était encore plus beau que je ne l'avais imaginée.
La mairie avait été totalement décorés, quand je vous disiez que mon père ne connaissait absolument pas la simplicité ce n'était pas une blague.
Après notre entrée dans la mairie sous les chants traditionnels Bulgare. L'heure des consentements étaient enfin arrivés. J'étais vraiment trop impatiente.
Le maire - Monsieur Issam Ajulov ici présent voulez-vous prendre pour épouse Mademoiselle Akeelah Zaharieva ici présente ?
Issam - Oui je le veux !
Les youyous et les cris de joie se sont ensuite fait entendre partout dans la mairie.
Le maire - Mademoiselle Akeelah Zaharieva ici présente voulez-vous prendre pour époux Monsieur Issam Ajulov ici présent ?
- Oui je le veux ! Oui !
Les youyous et les cris de joie se sont ensuite fait entendre partout dans la mairie.
Après l'échange des alliances nous nous sommes retournés tout les deux pour montrer à la salle entière que désormais nous étions mari et femme aux yeux de la loi.
La mairie - A présent par les pouvoir qui me sont conférés je vous déclare uni par les liens sacrés du mariage. Vous pouvez embrasser la mariée.
Il s'est approché doucement de moi en souriant de toute ses dents et a déposé tendrement ses lèvres sur mon front avant de me serrer dans ses bras.
Et voilà nous étions enfin mari et femme aux yeux de Dieu et de l'état. C'est tout ce que nous avions toujours voulu.
Bien sûr la sortie de la mairie s'est faite comme l'entrée dans la joie et la bonne humeur. Tout le monde était content pour nous, ça faisait chaud au cœur de voir autant de monde réunis pour notre mariage.
