Tout pardon à sa récompense.
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En voyant leur visage apeuré je n'ai pu que sourire. Je les ai laissé ensuite reprendre leur esprit quelques secondes.
Ils ont d'abord essayé de lever leur bras mais quand ils ont vu qu'ils étaient attachés, ils ont ouvert grand les yeux et ont tournés le regard dans ma direction.
Asmâr - Mais putin c'est quoi ça !
- Bonsoir Asmâr.
Asmâr - Mais qu'est-ce que tu fous ? C'est quoi ces conneries ?!
- Je veux vous raconter une histoire à toi et à ta charmante épouse.
Jhene - Tu viens faire peur à mes enfants dans ma maison, tu nous kidnappes et nous attache à des chaises comme des vulgaires déchets pour nous raconter une histoire ?! Non mais c'est quoi ton problème ! T'es une grande malade !
Et en une fraction de secondes ma main venait de frapper violemment son visage, ce qui lui a directement fais saigner du nez ! Elle s'est ensuite mise à pleurer.
Asmâr - TU NE LA TOUCHES PAS !
- JE FAIS CE QUE J'AI ENVIE DE FAIRE ! C'EST CLAIR ?!!
Asmâr - Mais putin Akeelah qu'est-ce qu'il t'arrive tu nous fais quoi là ?!
- Écoute mon histoire.
Asmâr - DÉTACHE NOUS ! JE VEUX MÊME PAS L'ÉCOUTER TON HISTOIRE T'ES COMPLÈTEMENT MALADE !
J'ai alors souris et j'ai fais signe aux garçons d'emmener Jhene. Elle s'est ensuite mise à crier et pleurer Asmâr.
Asmâr - Oooh mais qu'est-ce que tu fais ?! Laisse la tranquille !
- Tu là fermes !
J'ai tourné doucement la chaise d'Asmâr en face d'une vitre et j'ai allumé la lumière. Jhene était assise juste en face pleurant toute les larmes de son corps une arme pointée sur sa tête.
- Tu ne veux toujours pas écouter mon histoire ?
Asmâr - Tu ne peux pas faire ça, je te connais ! Tu ne ferais même pas de mal à une mouche.
- Oh tu crois ça ? Alors regarde bien mon chéri.
Je tends ma main pour que l'on me donne une arme et passe dans la pièce à côté où se trouve Jhene. Je fais un signe de la main vers le mur qui est en réalité une vitre d'où Asmâr peu nous voir. J'ai ensuite allumé le micro juste à côté.
- Tu crois toujours que je ne peux pas faire ça ?
Asmâr - Tu ne feras rien.
J'ai tendu ma main en pointant l'arme vers Jhene et j'ai tiré.
Asmâr - NOOOOON !
Un énorme bruit c'est fait entendre dans toute la pièce et elle s'est mise à crié et pleurer encore plus fort. Je venais de lui tirer dans la jambe.
- La prochaine fois c'est à la tête que je tire.
J'ai rejoins ensuite Asmâr. Il était complètement abasourdi, il avait les larmes aux yeux et m'avait regardé avec tellement de haine, le même regard que j'avais depuis que j'avais appris que c'était lui qui avait commandité la tentative de meurtre d'Issam.
- Alors qu'est-ce que ça fait de voir la personne que l'on aime ce faire tirer dessus ?
Asmâr - T'ES UNE GRANDE MALADE !
