Celles qui sauveront Riverdale [ Fini ]

Chapitre XXXVIII Les Dix Heures sonneront.

Et voilà le second chapitre de la journée ! J'espère que vous avez ou passez un bon Noël et que Monsieur le Père du Même Nom est venu vous apporter tous pleins de jolis cadeaux ! Je vous fais des bisous et vous dit à Jeudi pour la suite des évènements :D

Présentement, maison de Solune, dix-huit heures trente, après les entraînements

J'avais appris qu'un match entre notre lycée et celui de Greendale allait bientôt avoir lieu. Donc, comment vous dire que les joueurs sont excités et stressés et que les cheers se donnent de plus en plus à fond dans leur entraînements ? Ce qui est bien, c'est que dans les deux cas, on peut se rincer l'œil. Eather m'avait forcée à la suivre sous prétexte que : « Tu veux pas être cheer ? O.K., mais tu es ma meilleure amie. Donc, tu dois me soutenir, par conséquent, tu ramènes ton cul avec moi, merci, point ! » J'avais passé une heure et demie ou deux heures à les regarder se dandiner. Nous n'avons eu aucune nouvelle de Constantin, ce qui m'inquiète. Puis, quand nous sommes rentrés à la maison, nous avons eu la discussion entre nous tous. Nous avions rapidement parlé de la légende du Seigneur, mais Sweet Pea nous avait ri au nez. Ce n'est qu'après une bonne petite engueulade entre lui et moi, qu'il a enfin compris que nous étions plus que sérieuses. Je me suis enfermée dans la cuisine, comme une gamine, cuisinant les premières recettes qui me passent par la tête. Arch et Eather ont préférés resté entre eux, pour parler... ou baiser, j'm'en fous. Et Fangs ? J'sais même pas en fait. Il a disparu après nos explications.

— Jug ? (Pea me rejoint) Sérieux, fait pas ta gamine.

— Tu ne m'insultes plus, c'est bon ? craché-je.

— J't'ai pas insultée.

— Va te faire foutre, mec !

— J'laisse l'honneur à Fangs, ça va. D'ailleurs, il est où ?

— J'pensais que tu aurais pu me le dire, en fait.

— Tu ne me gueule pas dessus ?

— Non.

— Pourquoi ?

— J'suis trop fatiguée.

— Tu peux aussi dire que tu m'aimes bien, aussi.

— Non. T'es mon meilleur pote et tu dois me supporter. Tu es au courant, de ça, non ?

Il éclate de rire, mais d'un vrai, sincère et pas moqueur. Il me fait un câlin.

— Tu es ma meilleure pote aussi, et c'est pour ça que j'aime me prendre la tête avec toi. C'est super drôle ! Maintenant, quoi qu'il arrive, dès que tu entends tes voix dans ta tête, j'veux être au courant, O.K. ?

— Promis.

— Bon aller, j'ai à faire.

— Ouais, c'est ça. Ta gueule me donne envie de gerber.

— Bien sûr.

Pea sort tout content. Fangs lui tape dans le dos, arrivant avec deux gobelets de chez Pop's, il m'embrasse et m'en tend un.

— Pour toi, bébé. Ton préféré, à la fraise.

— Moh, trop chou, chat.