Celles qui sauveront Riverdale [ Fini ]

Chapitre XLVII Twilight et Southside 2.0.

Étant donné que c'est la rentrée : force et courage à vous ! Pour ce faire, je vous partage un peu de mon courage et de ma force, (mdrrr oui oui), avec ce nouveau chapitre. Je vous fais des bisous et vous dit à demain pour le suivant !

Lundi 1er Juillet, vers quatorze heures

Après la cérémonie de remise des diplômes, nous avons pris une photo comme celle qui m'avait emmenée à Riverdale : une sorte d'hommage à nos parents, nous avions d'ailleurs laissé un exemplaire à FP, Alice, Fred ou encore les Lodge. Nous avons dû reporter notre départ, Fred nous as prévenu que la fin des travaux, tant attendue, était enfin là. Par conséquent, nous devons participer aux inaugurations. Eather s'est amusée sur mon visage et celui des filles ; en même temps, elle a voulu expérimenter les décolorations et recolorations capillaires : par conséquent, Toni a un rose plus lumineux, Betty a le droit à du bleu et je me retrouve avec du violet, en plus, sur la tête. Veronica n'a pas voulu toucher à sa tignasse comme Cheryl. Après une dernière vérification maquillage, nous descendons enfin. Inauguration oblige des robes, talons et tout ce qui fait le bonheur d'E en somme. En plus, sous les tissus plus ou moins transparents, nos tatouages sont visibles ; ce qui ne plaît pas forcément à tout le monde.

— Va te changer, peste Archie contre sa copine.

— Non ?

— Mais ce n'était pas une question.

— Elle s'habille comme elle veut, Arch, la défend Cheryl. Elle est très bien comme ça, et puis, Lune n'est pas mieux !

— On ne me mêle pas à ça, merci.

— Sérieux, regardez-vous, je pourrais tromper Toni avec l'une de vous deux. Voire même les deux !

— Merci ? disons-nous ensemble avec E.

— Non sérieusement, déstresse Arch, prend un joint à Jug au pire !

Cheryl dit ça, pile au moment où je m'en allume un. Le rouquin me regarde avant de soupirer et de regarder à nouveau Eather.

— Le premier qui essaye de te faire des avances, je le...

— Tu ne feras rien, soupire-t-elle. On peut y aller, maintenant ?

— Mouais... Mon père nous attend de toute façon.

La maison se vide pour que les voitures se remplissent. Cependant, Fangs me retient, je vois bien qu'il est en pétard, j'crois.

— Quoi ?

— Tu vas pas y aller... comme ça ?

— Cette robe est parfaite, enfin, selon E. Je me serais contenter d'un tailleur-pant, mais bon, vaut mieux pas la mettre en rogne.

— Parce que me mettre en rogne moi, c'est pas grave ?

— Je n'ai pas dit ça ! Putain, ce n'est qu'une robe !

— Que je vais m'empresser d'enlever une fois rentrer, dit-il sur un ton plus léger.

— Je préfère ça. On doit y aller, Fred nous attend...