Il me manque...

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Tu n'étais pas suicidaire, mais tu n'avais plus la joie de vivre que tu avais quelques mois plutôt. Tu t'étais à nouveau refermer sur toi même, avec ta musique et tes idées sombres. Tu sais pas vraiment si tu voulais t'en sortir. La vie n'est que souffrance à tes yeux. Surtout depuis se jours.

Tu rentrais de l'école, tu avais 14 ans. Ton sac sur le dos, ta capuche sur la tête, et ton casque sur les oreilles, ça faisais un peu près six fois que tu écoutais la même musique. Mais tu n'avais pas la force de changer, elle te faisait rêver.

Tu ouvre la porte de chez toi en rabaissant ton casque pour le mettre au tout de ton cou.

-Papa ! Papa ! T'exclames tu, heureuse de lui annoncer ton 20 en math.

Tu vivais seul avec lui, ta mère étais partie après ta naissance, se disant pas prête à être mère, mais ton père avait catégoriquement refuser de te laisser, tu étais qu'un nouveau né, mais il savait déjà que tu allais être comme lui, rien que par ses magnifique yeux que tu avais récupérer de lui.

Alors se soir là, quand tu avais entendu aucune réponse, tu t'étais un peu inquiéter. Tu avais pris la décision de retirer tes chaussures et de le retrouver.

Mais quand tu as ouvert le garage, tu es tomber sur la scène la plus traumatisante que tu n'avais jamais vu.

Ton père était là, oui. Mais plus tellement. Une corde au tour de son cou, relier à la poutre, ses pieds dans le vide, le corps déjà blanc, la tête tombant sur le côté.

Ton sac étais tomber alors que tu hurlais en pleurant son nom. Mais c'était déjà trop tard.

Tu as étais placer en foyer, puis en maison d'accueil. Tu es parties le jours même de tes 18 ans, et maintenant, âgée de 20 ans, cette histoire de hante toujours.

Debout sur le toit de ton immeuble, Queen dans les oreilles, tu dis que, peut être tu n'es pas faite pour la vie.

-Ne fais pas ça, Y/N. Intervient une voix grave derrière toi. Tu n'as pas besoin de tourner la tête, tu sais que c'est Tony, ton petit ami.

-Il me manque. Souffles tu en regardant la lune brier de mille feux.

-Je sais, et tu sais tout aussi bien que moi, qu'il serait combler que tu sois heureuse. Le jeune brun avance lentement dans ton dos.

-Je peux pas être heureuse si il est pas là. Tu te tournes enfin vers lui. Il était mon modèle, je l'ai vu vivre, sourire, être heureux. Et je l'ai vu déprimé, perdre le goût de la vie mais sans le montrer. Puis je l'ai vu mort.

Le milliardaire prend son temps avant de répondre, il a le même âge que toi mais dirige déjà une des entreprises qui promet le plus dans le monde.

-Je sais mon coeur, mais viens, on vas en parler dans la chambre. Il te tend la main.

Tu la prend et descend du rebord.

Si il était pas venu, tu aurais sauter.

Si il était pas là, tu aurais abandonner.

Mais il était là, il était venu, et maintenant il te sert fort contre lui en se promettant de te rendre heureuse, puis il tourne la tête vers le calendrier alors que tu dors contre lui, dans ses bras. La casse du jours était marquer d'un coeur rouge, il ne l'avait pas remarquer, mais aujourd'hui était le jours de la disparition de ton père...

Plus jamais il ne te laisserait seule en se jours.

-Loyola Stark

Imagine Tony Stark / Robert Downey JROù les histoires vivent. Découvrez maintenant