L'ancien one-shot avec lui ne me plaisait pas du tout donc je l'ai supprimé pour en réécrire un nouveau !
⚠️ CITRONNADE ASSEZ COURTE ⚠️
PDV Omniscient :
La vie n'est pas un conte de fée. Non, la vie est un film. Un putain de film.
Et c'est à nous de décider de quel type de film va être notre vie.
En ce qui concerne celle de notre chère [t/p] [t/n], actuellement, sa vie était un film d'horreur.
Pire que les fantômes ou les zombies, bien plus effrayant que des démons, elle devait faire face à Bakugo et lui annoncer... qu'elle venait involontairement d'égarer son chat. Chose que l'on qualifierait comme étant la plus grande catastrophe que l'humanité ait pu connaitre car, bien qu'il n'en avait pas l'air, Bakugo adorait son chat. Donc imaginez le scénario où la pauvre [c/c] devrait subir le courroux de l'explosif, elle qui avait galéré pour intégrer la Bakusquad afin de frimer un peu, elle qui avait fait des efforts monstrueux pour gagner l'amitié de Bakugo, à présent, elle n'avait plus que ses larmes pour pleurer.
PDV Reader :
– J'ai un plan ! Déclarais-je en me redressant du lit de Kaminari
– [t/p], quel que soit ton plan, je t'aiderais ! Fit Kirishima
Kaminari, Sero et Mina furent du même avis et après que je leur ai fait part de mon idée de génie, on se dispersait pour le mettre en place tout en attendant craintivement le retour de Bakugo qui était sorti faire son footing.
– Il arrive ! Remarquais-je l'entendant depuis la pièce commune de l'internat
Soudainement, dès qu'il passa le seuil de l'étage où se trouvait sa chambre, je sortais de ma cachette ayant usé de mon alter de transformation pour prendre l'apparence exacte de son matou et me dirigeais vers lui en miaulant.
– Killer, murmurait-il en se penchant vers moi pour caresser ma nuque
(NDA : Les fans d'Undertale en sueur mdrrr)
«C'est pas le meilleur de mes plans mais si je tiens à repousser ma mort, je dois tenir jusqu'à ce que les autres reviennent de l'animalerie.»
Alors que l'on entrait dans sa chambre, il attrapait rapidement des vêtements avant de se diriger vers les douches. De mon côté, je le suivais et m'arrêtais devant la porte seulement contre toute attente, il me fit entrer avec lui et, retirant son haut, je me sentais rougir intérieurement sans pour autant parvenir à calmer mon esprit malsain qui souhaitait en voir plus puisque quitte à jouer le rôle de son animal de compagnie, je pouvais bien en profiter pour me rincer les yeux.
«Juste un simple coup d'oeil.» me disais-je à moi-même
Un simple coup d'oeil. C'est tout. Ça aurait pû s'arrêter là si il ne m'avait pas entraîner dans les bains où il n'y avait personne d'autre que lui et... moi, dans le pauvre petit corps faible et mignon de son chat.
«POURQUOI TU LAISSES ENTRER TON MATOU DANS UN TEL ENDROIT ?!» S'écriait ma conscience qui saignait violemment du nez tant la vue de son corps était magnifique
