* A peine les invités sont partis , que je m'attendais déjà a mon sort qu'il n'ont pas tarder à me figer.
- tu penses que je vais te frapper espèce de pute ? Figure toi que non . je ne vais plus puiser mes mains pour ton sale corps . tu vois bien qu'il y'a coupure d'eau , tu va te lever a 2h du matin ( l'heure où l'eau coule) pour remplir tous les récipients de cette maison . et ce n'est pas tout , que je ne te vois pas dormir , ni te reposer . tchippp.
J'etais silencieuse , je l'ecoutais parler sans rien dire.
Awa me tire encore une fois le bras et j'atteris par terre.
Les 5.000f tombent de ma poche et cela a declanché le chaos total.
- La illaha il la la , yaye , sa 5.000 yingua donne lathié si soubeu domakharam bi moka sathie ( Au nom du tout puissant , maman , les 5.000f que tu réclamait depuis ce matin c'est cette sale chienne qui les a prise ).
Elle était sur le point de partir quand elle attend les cris de awa et se retourne .
- Nguanima ? (Tu dis quoi ?)
- tu as bien entendu.
- cette imbécile n'en n'est pas capable.
Elle me tire vers elle , elles me prennent tous pour un objet ou quoi , elles me tirent comme elles veulent.
- Tay rek layy Dakkar sa ndaye , mane nguay sathie ? ( je vais aujourd'hui insulte* , c'est a moi que tu voles? )
Tu as mordu la main qui te nourrissait .Elle m'entraine encore une fois jusqu'à sa chambre et me fige les traitements les plus douloureux qui soient.
Elle m'amène jusqu'à ma chambre et m'y jette . je l'entend fermer la porte a double tour de clé .
J'ai toujours pensé à me suicider mais je n'ai jamais osé m'y lancé , j'avais peur. Je me disais souvent que peut être demain sera un bon jour pour moi.
J'ai toujours pensé que nul ne peut figer la souffrance à qui que ce soit , mais là , je me rend compte que nous nous entre-tuons nous même.
Pourquoi tant de méchanceté gratuite ?
J'etais toujours enfermée dans la chambre , j'avais mal , ma mère me manquait tellement .
A chaque fois qu'il me figent une souffrance , je pense à mes parents , je me dis que j'ai la chance de survivre . et je survivrai pour leur vanger
(...)
(...)
Il était déjà 2h du matin , je ne me suis en aucun cas poser sur un lit pour dormir , j'attend qu'on ouvrait la porte par derrière et je me suis précipité de me lever.
La porte s'ouvre sur elle .
- hey lève toi et va remplir les bouteilles.
Je me lève à la minute.
Je remplissais les bouteilles tranquillement .
Je finis vers 6h du matin car l'eau coulait lentement et les recipient étaient en a finir . Je décide de me reposer sur la véranda pour dormir.
💭💭💭💭
Je fus réveillée par une eau tellement froide que ...
Je sursaute sans réfléchir.
- Que t'avais -je dis ? De ne pas dormir dans ma maison' , n'est ce pas ?pourquoi tu es dure de la tête ? Pourquoi tu as une tête de mule , mal éduquée que tu es.
J'avais tellement froid que je me recroquevillais sur moi même .
Je n'aimais pas toute cette aventure que je vivais , mais je disais toujours Alhamdoullilah.
Je pensais toujours aux autres qui enduraient pire que moi.
Je tombe inconsciemment par terre.
(...)
💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭💭
J'ouvre les yeux petit à petit et tombe sur tata mareme , la meilleure amie de maman.
Je remarque que j'etais à l'hôpital . j'avais un genre de masque sur le visage , ça améliorait ma respiration ,je croix.
Je me retourne de l'autre côté et vois tata coumba .
- Aÿ way sama thiate bou djiguéne bi guawal diouk , boulmeu titeul.( ma petite benjamine , fais vite de te lever , ne me fais pas peur ). Disait-tata hypocritement.
- Sa yaye moffi nekoul rek doom . xamna lepp mais mougneul rek ( c'est seulement ta mère qui n'est pas là , je sais tout . endure , ça va aller ). Me dis tata mareme
Tata coumba la regarde tout en souriant comme si ces paroles ne lui étaient pas destiné. Femme sans vergogne !
Le médecin arrive et leur demande de me laisser me reposer .
Je demande à parler à Tata mareme et tata coumba me lance un regard menaçant que je reconnais trés bien .
- tata , je veux partir , loin de saint -Louis.
- Mane Adja Marema séne kouma waxone ni khétou gnaw-teff yi amna birr ndar guethie doumeu KO geume ! Wayei na sa xol seed ! (moi , Adja Marema sene , quiconque me dirait que ces genres de méchanceté existe ici à saint-louis , je n'y croirai pas mais calme toi rek tout ira bien )
Je me repanche sur le lit car je sais trés bien que ma tante est sur le seuil de la porte pour écouter , je connais bien ses capacités.
Elle entre et me dit qu'elle retourne à la maison pour m'amenez à manger.
Je ne voulais pas quitter l'hôpital bien vrai que personne ne le souhaite , mais tel n'est pas mon cas à moi.
Les piqûres de l'hôpital sont mille fois plus tendre que la vie chez la demeure des thiam.
Quand je repense à ma mère , j'ai les larmes aux yeux , tellement elle était à mon chevet. Cette femme est juste incomparable .
J'ai demandé a tata mareme de l'argent , chose que j'avais pas habitude de faire , mais elle me comprend .
Elle me donne 25.000f .
Je le cache sous mon slip .
J'attends tous leur départ pour m'echanger.
Je change mes habits et marche comme une voleuse dans les couloirs de l'hôpital .
J'ai failli me faire prendre mais j'ai menti en disant que je suis avec ma mère.
Je lance un AlHAMDOULLILAH quand j'ai réussi a sortir de cette hôpital.
Je marche jusqu'au gare .
Je vois des voyageurs négocier et je monte dans le male de la voiture.
Une Nouvelle Vie M'attend ....et je ne sais dans quelle ville se dirigera cette voiture mais mon destin est entre ses mains
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Rachida ! Tournure de ma vie
Adventureun garçon manqué ? oui je le suis . saurai-je ce que signifie le mot bonheur ? - un homme pour un homme ? saura-t-il changé ma vision des choses ? violée à l'âge de 8ans par mon oncle à Saint-Louis , je finis Vendeuse d'arachide dans les rues de Dak...