PREMIERE FOIS EN PRISON

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Dans ma chambre entrain de faire les cents pas , même si je sais que y'a pas suffisamment d'espace  pour le faire  , en bref je fais des vas et viens sans savoir où me loger.

J'ai vraiment merdé , c'est un truc de monstre ce que j'ai fait . je n'aurais jamais du le faire Je sais mais il m'a poussé à bout , il aurait pu me parler respectueusement , je n'ai rien sur mon visage ou sur mon corps qui affiche '' sans vergogne " donc j'exige le respect qu'en même.

La peur m'accapare de plus en plus , je n'ai jamais mis les pieds dans cet endroit et je n'envie guère ce qui y sont , c'est qu'en même l'endroit où sont enfermés les criminels les plus fous non ?.

Je me couche sans manger car j'ai pas tout vendu et l'argent serait en manque si je le dépense juste pour manger , j'ai l'habitude de dormir le ventre creux d'ailleurs . c'est petit à petit que mon esprit réussit à atteindre morphée.


(......)

Assise en sale d'attente , je vois les gens faire des vas et viens , les uns avec un regard triste , d'autre avec des regards terrifiés .

Mais quant à moi , la peur s'est envolé à mon reveil , d'ailleurs ce mot n'existe plus dans mon dictionnaire .

Je rigole trés fort voyant le peul qui se plaignait d'un vol de ses moutons alors que les autre avaient le regard vide. Franchement c'est une situation drôle . MDR..

Je rigolais tellement fort qu'à un instant je sens quelqu'un devant moi

Je léve les yeux et parcours un long physique trés costaud je pense qu'il doit mesurer 2à 3 metres tellement qu'il était grand .

Mon sourire s'efface d'un coup et je me lève comme un soldat à qui on a donné un ordre.

Je le regarde dans les yeux sans reculer d'un pas et pourtant au fond l'esprit me disait '' Rachida recule ''
Pourtant je n'oserai jamais comparer mon physique au sien , c'est comme si vous tenez une petite sourie dans vos mains . J'étais trop trop trop même petite face à lui, pourtant si vous me voyez , vous ne me donnerai pas mon âge car je suis un peu précoce , on me donnerait les 23-25 ans.

-hunhrun hunhrum ( racle t'il de la gorge ).

- quoi ? Demandais-je

- vous ne savez pas ce qui se passe ?

- soumako khamone doumalako ladjie yaw mi né seuyy sama kanam ni malaka ( si je l'avais su je ne te l'aurais pas demandé toi qui est comme un soldat devant loi comme un malak )

Il laisse échapper un petit sourire avant d'appeller un garde.

- garde ( crit -il) amener là en garde à vue cette folle .

- quoi lâchez moi bande de fou , vous faites quoi ? Lâchez moi ( tentais-je de me défendre sans succés )

je viens de me rendre compte que je parlais au commissaire de la police .

''Grosse folle , tu n'es jamais patiente avec la vie , tu oses t'affronter au commissaire de la police vas y '' (me dit ma conscience )

- il abuse juste de son pouvoir , je n'ai rien dit qui puisse le brusquer , mais quand je sortirais d'ici je lui referait le portrait ce sale con (repondais-je inconsciemment à mon esprit )

- arrêtez de parler toute seule avant que j'augmente votre garde .( me dit le commissaire qui passait )

- je m'en contre fiche , retenez moi le temps que vous voulez mais vous n'allez pas vous en sortir , je vous tuerai soyez en sûre. Je n'ai rien fait de mal et vous abusez de votre autorité pour m'enfermer dans cette pourriture .wallae je ne manquerai pas à vous refaire le portrait.

Rachida ! Tournure de ma vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant