Mini fanfics youtubeurs X reader

Le grand JD X Em

À @Hitsujinoneko

Tout d'abord, je tiens à préciser que le noms de la villes est réel, mais pas le nom du château. Copyright, etc... Je veux pas d'ennuis!
Merci,
Zélia
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Point de vue de Julien:
Je viens d'arriver en France, précisément dans le Pas de Calais. J'étais passé en vitesse chez un bon ami à moi également youtubeur, Cyril. Je ne prenais pas de vacances, j'allais faire de l'urbex! Il m'avait conseillé le château de Berlette, dans le petit village de Savy-Berlette. Un drôle de nom, certes, mais un beau château!

Je commençai donc mon intro, puis présentai le lieu:

Julien: Alors nous sommes actuellement au château de Berlette, construit en 1706. Il a été bombardé durant la seconde guerre mondiale, et a été à demi détruit. Puis, il a été laissé à l'abandon des suites d'une affaire de succession. Mais Em vous l'expliquera mieux que moi!

Em: Salut!

Julien: Alors, ça fait combien de temps que t'habites ici?

Em: Alors... Je vis dans ce village depuis que je suis née, c'est à dire 30 ans.

Julien: Wow. Tu peux nous en dire plus, sur l'histoire de ce bâtiment?

Em: Eh bien... Il a été construit par Bon Joseph Lallart, un noble qui était réputé pour ses goûts... Comment dire... Morbides. Il faisait une importante collection de têtes réduites, de squelettes humains et animaux. Et il aimait la torture!

Elle marqua une pause, demandant silencieusement mon accord pour continuer.

Julien: Et il y a des légendes, concernant cet homme, ou le château en général?

Em: Alors oui! On raconte que plusieurs "prisonniers" (et j'insiste sur les guillemets, car c'étaient des habitants d'ici) seraient morts dans d'atroces souffrances dans une des nombreuses salles souterraines du château.

Julien: Des témoignages?

Em: Pendant la seconde guerre mondiale, avant les bombardements, le bâtiment était un hôpital militaire. Les blessés sentaient parfois des courants d'air inexpliqués dans leurs salles, des objets disparaissaient sans raison, ils sentaient comme une présence... On pourrait entendre encore résonner les cris des suppliciés. Mais encore une fois, ce ne sont que des légendes.

J'acquiesce, satisfait. Nous partons tous les deux au rez de chaussée, visiter les cuisines, le salon et la salle à manger. L'étage supérieur était très instable, nous ne pourrions peut-être pas accéder à toutes les pièces.

Je passai avec Em dans toutes les pièces, et remarquai les portraits accrochés au mur. De la famille de cet aristocrate, sûrement...
Em me suit, ouvrant au passage quelques placards de la cuisine.

Julien: Eh, t'es au courant que si tu trouves de quoi manger ce sera sûrement périmé?

Elle me regarde, blasée.

Em: Depuis 1706? Tu penses?

Julien: Bah y a moyen, tu sais!

Elle soupire, vaincue par mon humour Suisse. Ah, les français se découragent vite!
Après être passés dans le salon où trônait un magnifique piano à queue (non fonctionnel selon Em, qui a testé toutes les touches), nous partons à l'étage. La salle de bain a beau être défoncée, on peut encore percevoir les traces de peinture. Nous visitons les chambres, peu intéressantes, puis la bibliothèque. C'était incroyable: des encyclopédies, des ouvrages classiques, des livres sur la... torture... Bref, passionnant!