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Et gloire éternelle à Clarisse Agbénégnou
Maintenant je vais faire ma pâte à crêpe puisque juillet a décidé qu'on était en novembre
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Chapitre 10 : A la gloire de Serpentard.
-Eléonore Zabini, debout !
-Lucy, va-t'en !
La voix qui venait de parler appartenait à Sarah Farley, une sixième année de du dortoir d'Eléonore. Lucy ne prit pas compte de cette intervention, et se dirigea vers le lit d'Eléonore. Elle ouvrit sèchement ses rideaux, révélant son amie emmêlée dans ses couvertures, sa tresse de cheveux blonds à moitié défaite. Lucy prit fermement sa couette et la tira fermement.
-Huumhumhum. Lucy, rends-moi ma couverture, gémit-t-elle dans un état de semi-sommeil en cherchant à tâtons de quoi se couvrir.
-Pas question, tu te lèves, le soleil est haut dans le ciel, refusa la préfète en ouvrant les rideaux de la fenêtre à côté du lit d'Eléonore. Enfin, pas si haut, constata-t-elle en remarquant que le Lac était encore bien sombre. Mais il ne va pas tarder. Debout !
-Lucy, marmonna Sarah depuis son lit. Va-t'en.
-Oui, enchérit Eléonore. Va-t'en.
Elle entreprit de refermer les rideaux de son lit à baldaquin, mais Lucy la contra à temps et les rouvrit sèchement.
-Norie, dans trois heures tu dois être sur le terrain. Alors tu vas me faire le plaisir de te lever.
-Trois heures. Dans longtemps. Besoin sommeil. Souafle attendra.
-Norie, si dans cinq secondes tu n'es pas debout, j'appelle Montague – ou Luke, menaça Lucy en plissant les yeux. Cinq ... Quatre ...
Eléonore ouvrit un œil mauvais du Lucy. Quelques secondes plus tard, elle se redressait en frissonnant, les yeux gorgés de sommeil, ses mèches brunes encadrant misérablement son visage fatigué au teint plus gris que basané.
-Bien, tu vois quand tu veux, se moqua Lucy alors que son amie sortait sa robe émeraude de son placard.
-T'es une plaie, Lucy. Va réveiller les mecs au lieu de t'acharner sur moi.
-Et nous aussi ! intervint Sarah.
Lucy eut un sourire immensément satisfait, et repartit au moment où Eléonore s'enfermait dans la salle de bain et Sarah menaçait de lui faire boire une potion de ratatinage. Elle remonta dans la Salle Commune des Serpentard. Ça faisait une heure qu'elle était debout, l'excitation de l'arrivée imminente d'un match de Quidditch et le stresse que cela lui procurait l'avait réveillée. A présent, elle s'arrangeait pour qu'aucun de ses camarades n'arrive en retard, aussi descendit-elle directement dans les dortoirs des garçons. Cette fois, par mesure de prudence, elle resta hors des chambres, et se mit à tambouriner à la porte des quatrièmes années.
-McColley ! Oxlade ! Debout, match de Quidditch ! Allez !
-Lucy je te hais ! hurla Albus, qui partageait ce dortoir.
Indifférente, elle continua de marteler le battant jusqu'à ce que l'ensemble des garçons protestent et qu'elle perçoive la voix de Will et Oxlade dans le brouhaha. Puis elle toqua chez les troisièmes années de Mark Ashon, son batteur. Le garçon passa sa tête fatiguée par la porte, hocha la tête et retourna s'habiller.
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Les fantômes des oubliés
Fanfiction[version corrigée de "Lucy Weasley", compatible avec mes autres œuvres et celles d'Annabethfan - Terminée] *** Fille de Percy et Audrey Weasley, Lucy n'a jamais correspondu à l'image de la fille parfaite préconisée par son père. Amoureuse de Quiddit...