Point de vue de Tessa.
Je me réveille, abasourdie. Je suis encore dans les bras de Matthew, toujours dans la salle du gymnase. Je remonte mes yeux aux siens, lorsqu'il me remarque un faible sourire apparait aux coins de ses lèvres.
Matthew : Ça va mieux ? Me susurre-t-il à l'oreille.
Moi : Ouais, merci. Soufflais-je en me libérant de ses bars.
Une fois assise à ses côtés. Je frottais mes yeux avec les paumes de mes mains, comme une gamine. Je l'entends rire rapidement avant que je rouvre les yeux. Il me tend son sandwich. Confuse j'en mord un morceau.
Matthew : Prend tout, j'en ai un autre.
Moi : Merci. Souriais-je en commençant à le dévorer.
En observant un peu plus la salle, en me réveillant doucement. L'agitation n'est plus présente dans le gymnase, à la place, des discussions fusent dans tous les sens. Plus loin, je vois « notre groupe d'amis ». Oui, j'ai mis des guillemets parce que nous sommes forcés de faire semblant d'être amis. Ce n'est pas très sain d'ailleurs, plutôt toxique. Mais bon, on fait comme on peut.
Moi : Pourquoi tu nous as isolé du groupe ?
Matthew : Puisse que tu puisses te reposer tranquillement. Ça a plutôt bien fonctionné puisque tu as fini par t'endormir. M'explique-t-il le sourire aux lèvres.
Moi : Finalement tu n'es pas le plus méchant.
Son sourire s'agrandie et devient plus sincère, me montrant que me révélation l'a touché en plein cœur. Moi aussi, je ne suis pas si méchante dans le fond, c'est mon vécu et mes expériences qui font que je réagie plus agressivement.
Après cette petite marque de tendresse, je décide de le questionné sur l'incendie, pour savoir où ça en est.
Moi : On sort bientôt d'ici ?
Matthew : Ce soir. Les pompiers se démènent avec le feu depuis une bonne heure. Le directeur nous a donc annoncé que les cours seront suspendues jusqu'à nouvelle ordre. M'explique-t-il directement.
Moi : Ils ont prévenu nos parents ?
Matthew : Ils nous ont demander de le faire, alors j'ai commencé par prévenir ma mère, puis, tout naturellement, je me suis permis de prévenir la tienne. Sourit-il avant de reprendre. D'ailleurs ta mère fut ravie de m'entendre. Il me semble qu'elle met BEAUCOUP remerciée pour avoir pris soin de toi.
Je lève les yeux ciel lorsqu'il m'annonce ses dernières phrases avec tant d'enthousiasme.
Matthew : Ta mère semble énormément m'apprécie. Finit-il par me dire avec beaucoup TROP de fierté.
Moi : Je n'en doute pas. Riais-je en voyant se tête enjouée par la nouvelle.
Matthew : C'est un bon point, non ? Si je plais à ta mère.
Moi : Pourquoi vaux-tu absolument plaire à ma mère ?
Matthew : Et bien... Essaye-t-il d'articuler devant moi, en passant sa main dans sa nuque.
Signe de nervosité chez lui. Contente qu'il réagisse comme ça, je pose mes deux mains sur ses genoux. Oui, dans le feu de l'action, j'ai fait ça. Remarquant que mes mains furent posées sur ses genoux, il les prend en souriant avant de les liées aux siennes.
Matthew : Dites-moi pourquoi votre question vous met dans un tel état ?
Moi : Pourquoi tu parles comme si on était aux seizièmes siècles ? Demandais-je en levant les yeux aux ciels, une nouvelle fois.
Matthew : Je trouve cela plus élégant afin de vous séduire. Mais si les mots ou même le vocabulaire vous manques, nous pouvons nous abstenir.
Il a l'air très investie dans son jeu, alors peut-être que si je rentre dedans il va répondre à ma question.
Moi : Le vocabulaire ne me manque guère, mon cher. Souriais-je fière de moi.
Matthew : Bien, alors pouvons-nous poursuivre ?
Moi : Evidement. Reprenons, pourquoi vous obstinez-vous à vouloir plaire à ma mère ?
Matthew : Généralement, il est d'autant plus simple de vous plaire par la suite, une fois que votre mère m'apprécie.
Quelle enflure ! Oh, je suis restée aux seizièmes siècles, moi. Bref, son petit jeu lui a permis de réfléchir à une réponse construite pour mieux y répondre sans y mettre ses sentiments, même la moindre émotion de sa part. Déçue je détache mes mains des siennes et me rassois à ses côtés.
Matthew : Qu'est-ce qu'il y a ? Me demande-t-il tristement.
Moi : Tu fais genre d'être triste aussi, tu es un merveilleux acteur Matthew ! Ça fait surement partie de ton plan, ça aussi.
Quelques secondes plus tard, il vient de tournée ma tête après y avoir posé deux ses doigts. Mes yeux encrés dans les siens, il me redemande ce qu'il ne va pas. J'hésite vraiment à le lui dire. Ce ne serait pas raisonnable se je commençais à baisser ma garde et à baisser les armes devant lui. C'est certain, il en profiterait et cela sans la moindre rancune. Je ne veux pas lui donnée ce privilège me dicte mo esprit. Mais mon cœur, lui, veut que je le lui explique.
Matthew : Ça ne fait pas partie de mon, plan, parce qu'avec toi je n'ai pas de plan. Dit-il en baissant la tête.
Moi : Je... je voulais que tu parles avec ton cœur, avec tes sentiments. Lui avouais-je.
Hein ?! Nous venons de parler en même temps alors je compris mal se qu'il me disait mais son sourire qu'il affichais en relevant la tête était chaleureux. Dois-je m'en réjouir ?
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Petit chapitre des familles, comment vous le trouver celui-là ?
J'espère de tout cœur que ça vous plait ?
Bisous !!! 😘😘😘
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Virginity game
Teen FictionUne nouvelle jeune fille dépose ses valises à New-York. Heureuse de pouvoir tourner l'une des pages de son ancienne vie. Mais en entrant dans cette ville, elle était loin de s'imaginer qu'elle serait prise dans un jeu stupide. Quatre garçons Huit f...