Une nouvelle jeune fille dépose ses valises à New-York. Heureuse de pouvoir tourner l'une des pages de son ancienne vie. Mais en entrant dans cette ville, elle était loin de s'imaginer qu'elle serait prise dans un jeu stupide.
Quatre garçons
Huit f...
Ducoup, me voilà, devant chez lui. Je me retrouve devant chez Hero. Ouais alors je ne le stolke pas au point de savoir où il habite. Mais vue que l'on trainait souvent ensemble avant la reprise des cours et bien on a été amener à savoir où l'on habitait. Ok rien d'anormale là-dedans. Je suis venue à pied, car il n'habite pas loin de chez moi. Et maintenant je suis devant sa porte, à faire les cent pas. J'hésite vraiment à toquer. Qu'est-ce qu'il va penser de moi ?
Aller Tessa, il suffit juste de s'excuser poliment et de lui pardonner. Me souffle ma conscience.
Ok, ok, imaginons il est devant toi.
Moi : « Salut Hero, heu voilà je suis là pour te dire que je te pardonne. Puis heu... je m'excuse pour être passée chez toi sans prévenir. Tu veux un câlin de réconciliation ? » Me dictais-je à moi-même.
On dirait une enfant qui appréhende de se faire gronder, sérieux. C'est Hero, je le connais bien maintenant, je ne devrais pas avoir si peur de lui. Tout va bien se passer, hein ? Au pire des cas qu'est-ce qu'il pourrait bien me faire ? Me rire au nez et en le connaissant ça ne serait pas impossible. Et en me connaissant ça risque fortement de m'énerver. Mais bon restons positif, et toque a cette stupide porte ! J'attends qu'il vienne m'ouvrir en me balançant d'un pied sur l'autre. Quand soudain :
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La porte s'ouvre sur un Hero torse nu, les cheveux en désordre, les yeux à peine ouverts. On pari combien que je l'ai réveillé. Mon dieu, il est sexy comme ça, avec ses tablettes bien dessinées.
Hero : Tessa ? Se questionne-t-il.
Il s'adosse à l'encadrement de la porte en souriant malicieusement. Je secoue ma tête de droite à gauche pour me remettre les idées en place. Faut que je lui dis-je quoi déjà ?
Moi : Salut ... heu ... pardon puis désolé ... je ... tu veux un câlin ? Lui demandais-je en lui ouvrant mes bras.
Son sourire malsain s'agrandie. J'ai pourtant tout bien dit, non ? Oh, Qu'est-ce que j'ai fait encore.
Hero : Entre, je t'en prie. M'invite-t-il.
Il me fait signe de m'installé sur le canapé, pendant qu'il part dans la cuisine. Il ramène, peu de temps, un plateau rempli de sucrerie pour le petit déjeuner. Il prend un bol remplit de miel pops après avoir allumée la télé.
Hero : Pourquoi tu es venue me voir ? Me demande-t-il, la bouche pleine.
Moi : Bah je te l'ai dit, non ?
Il déglutie rapidement avant de reprendre.
Hero : Salut ... heu pardon puis désolé ... tu veux un câlin ? M'imite-t-il en pouffant de rire.
Moi : TU m'imite très mal ! M'énervais-je en croisant les bras sur ma poitrine.
Il rit de plus belle en voyant ma moue. Vexer je prends son bol et lui balance tout à la gueule. Son expression change immédiatement lorsqu'il remarque le lait coulé le long de son torse nu avec les miels pops éparpillés partout.
Hero : Tessa ! Crie-t-il pour me faire croire qu'il est énervé.
Moi : Oups, pardon. Dis-je en mettant ma main devant ma bouche, un sourire diabolique.
Hero : Viens là ! Je veux me câlin ! s'empresse-t-il de me dire en ouvrant ses bras vers moi. Et en faisant allusion a ce que je lui ai dit.
Moi : C'est mort, Hero !
Je sors du canapé, tout existée. Avec à mes trousse, Hero recouvert de lait. Je ne vais pas rester propre longtemps, il est quand même plus rapide que moi puis il ne me laissera certainement pas m'en sortir aussi facilement, sans aucune punition. Je suis essoufflée lorsque j'arrive en haut des escaliers. Monter des marches en rigolant n'est pas la meilleure des façons faire. J'ouvre rapidement la première porte que je trouve, surprise de tombé sur une salle de bain. Sans réfléchir je me planque dans la baignoire. J'essaye de me calmer en respirant plus doucement pour ne pas me faire voir. En me concentrant sur ma respiration, j'entend ses pas se rapprocher, ils se font plus léger en passant devant la porte. Je ne suis pas la meilleure en déduction mais je pense qu'il sait où je me suis caché. Par réflexe, je me mets à fermer les yeux et pour accentuer tout ça je place mes deux mains sur mes yeux comme un enfant. C'est bien connu, non ? Si je ne le vois pas, il ne me voit pas non plus. La porte grince, signe que mon mercenaire rentre et que je ne vais pas tardée à être submergée de lait à mon tour.
Hero : Mais quelle enfant ! Rit-il en me voyant, surement.
J'écarte mes doigts pour le voir et je remarque avec peur qu'il tien entre ses mains, une bouteille fraîche de lait. Mes sens se bousculent, quel enfoiré ! C'est pourquoi je me lance dans des stupides négociation.
Moi : NON ! S'il te plait Hero, ne fais pas ça. Je t'en supplie ne fais pas ça. A la base, je venais pour te dire que je te pardonnais ! L'implorais-je rapidement.
Il sourit dans un premier temps puis ce fils de chien décide finalement de verser l'entièreté de la bouteille sur moi. Par la fraicheur de la boisson, je me mets à crier pendant que ce salop rit à gorge déployée.
Moi : C'est bon j'ai payé pour ce que j'ai fait !
Hero : Je croie, oui. Alors comme ça tu es venue me dire que tu me pardonnais ?
Moi : Ouais mais là, dans l'immédiat, je ne suis plus sûr de le vouloir ! Dis-je en arrangeant mes cheveux imbibés de lait.
Il rit avant de me faire une moue de petit garçon tout triste.
Hero : Pour me faire pardonner, je te laisse la salle de bain. Je vais t'apporter d'autres vêtements.
Moi : C'est la moindre des choses ! Lui fis-je remarquer en me comportant comme une princesse.
Une nouvelle fois il part en riant pour me laisser seule afin que je puisse me doucher, tranquille. Heureusement pour moi je me suis habillée avec t-shirt et un pantalon noir. Au moins il n'aura pas pu me mater comme ça. Bon après avoir attendue dans la baignoire comme si je mijotais dans le lait. Je me déshabille difficilement, car enlever un jeans trempé c'est compliquer ok. Arès m'avoir torsionnée dans tous les sens, j'enclenche enfin l'eau au-dessus de moi pour me laver. L'eau coule le long de mon dos, ce qui me réchauffe instantanément. Je me savonne un court instant avant de retrouver la sensation de l'eau sur mon corps.
