Une nouvelle jeune fille dépose ses valises à New-York. Heureuse de pouvoir tourner l'une des pages de son ancienne vie. Mais en entrant dans cette ville, elle était loin de s'imaginer qu'elle serait prise dans un jeu stupide.
Quatre garçons
Huit f...
Il roule vite. Faut dire que nous sommes pressés et sur le point d'exploser.
Ayant un peu peur de cette vitesse et le sachant pas très lucide, je pose sèchement ma main sur sa cuisse tout en lui demandant de ralentir. Il grogne de frustration mais ralentit quand même.
Malgré la vitesse, le trajet du retour semble durer une éternité. C'est long, affreusement long.
~ Point de vue de Matthew ~
Les yeux concentrés sur la route, je respire fort. Attendant avec impatience de quitter ma bagnole et de la pilonner. Faut dire que ce qu'il s'est passé au resto, c'était chaud. On s'est même isolé dans les toilettes pour continuer de se chauffer. C'était chaud, très chaud, je suis sur le point d'exploser à l'intérieur de mon boxer.
Elle aussi, je la sens à cran, elle est moins douce dans ses gestes, son souffle est court, il se fond avec le mien. Mes sons à moi sont plus brute, plus guttural, mon instinct primaire refait peu à peu surface. Je me promets d'être doux avec elle.
Les pneus qui crissent, je me rends compte que maintenant que nous sommes arrivés. Je me dépêche de la rejoindre pour la sentir contre moi, directement, je l'embrasse n'en pouvant plus d'attendre.
J'ouvre difficilement la porte, pour cause mes mains sont moites. La porte refermée, je m'empresse de prendre ses poignets, je la plaque au mur et ressert nos corps.
Tessa : Tu ne crois pas que l'on s'est assez chauffer. Me souffle-t-elle.
Moi : Tu veux ... t'es prête ?
Elle hoche la tête de haut en bas mais ça ne me suffit pas pour commencer. Je veux êtes sur qu'elle veut le faire.
Moi : Dis-le-moi de vive voix. Je ne te ferais rien de mal.
Tessa : Je le veux Matt'.
Feu vert ! Feu vert Matt' !
Je ne perds donc pas une seconde de plus et la soulève pour avoir accès à son cou puis je descends un peu plus bas avec envie et délice. Elle enroule ses jambes autour de moi. Très vite, je l'emmène dans ma chambre, l'allonge dans mon lit et commence à me déshabiller. Tessa, accélère la cadence en prenant le dessus, elle déboutonne difficilement et trop doucement ma chemise se qui me fait grogner d'impatience. Voyant mon mécontentement elle rit et fait de son mieux pour aller plus vite. Elle est plus que novice à ce que je vois. Elle fini par jeter mon vêtement au bout de la pièce. Ma jolie blonde laisse ses yeux se balader sur mon torse et de résiste pas à l'envie d'y toucher. Ses mains moites sont chaudes contre mon torse et cette sensation est juste sensationnel. C'est elle que je veux, rien qu'elle.
Elle se cambre pour que je puisse enfin y passer mes mains pour enlever sa robe. Je glisse avec délice et impatience mes doigts dans son dos puis descends le plus rapidement possible la fermeture éclair. Elle se tortille sous moi, m'aidant à la tirer. Une fois le bout de tissu au bout de la pièce, je reste bloquer sur son putain de corps.
Moi : Oh putain bébé. Grognais-je en la matant.
Tessa : Ça te plait ?
Moi : Si ça me plait, putain oui !
Je passe encore un peu de temps à l'admirer, sa parure en dentelle assortie à sa robe est ... magnifique. La couleur claire sur sa peau douce et bronzé me rends fou. C'est la plus belle fille que j'ai jamais eu dans mon lit.
Les étoiles plein les yeux et le désir ordonnant chacun de mes faits et gestes, me font fondre sur ses lèvres au goût sucrée.
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Mon érection ne fait que grandir.
Bordel, mais qui est-elle ? Elle me change, me hante mais je n'ai pas peur de devenir un homme meilleur à ses côtés. Je sais que c'est grâce à elle, même si elle est loin d'être toute blanche.
Une nouvelle fois, mes doigts glisse sous elle pour enlever son soutient gorge. Mes lèvres sont toujours sur les siennes mais je sens qu'elle est ailleurs. Pensant que je me fais des idées, je laisse passer. Mais ses mains viennent peu à peu pousser mon torse loin d'elle. Elle tourne la tête pour m'éviter.
Moi : Bébé ? Ça va ? Lui demandais-je posant ma main sur sa joue pour qu'elle me regarde, en n'oubliant pas de la câliner avec mon pouce.
Tessa : Je ... je ... je ne suis plus si sûr de vouloir le faire.
Moi : Tu veux que l'on arrête ?
Tessa : Je ... oui ... j'ai peur. Me souffle-t-elle, l'air affolé.
Moi : Ok, on arrête, je ne veux pas te forcer. Lui dis-je en me redressant.
Tessa : Tu ne m'en veux pas ?
Moi : Non, bien sûr que non, j'ai aucune raison de t'en vouloir. Tu n'es pas prête, je peux attendre.
Je me relève, prends ma chemise de la soirée puis la recouvre avec. Je lui boutonne deux, trois boutons et m'apprête à aller dans la douche pour me vider d'un part et pour redescendre en pression.
Tessa : Attends.
Moi : Oui ? La questionnais-je en me retournant.
Tessa : Je peux avoir un câlin ? Me demande-t-elle en tendant ses bras.
Je lui souris puis vient la blottir dans mes bras, contre moi. Je sens qu'elle me cache quelque chose mais je ne veux pas la forcer à m'avouer quelque chose. En plus c'est qu'une intuition, je pense que c'est à cause de ça qu'elle n'a pas pue aller au bout des choses.
Moi : Il y quelque chose, pas vrai ? Dis-je en frottant ma main de haut en bas sur son dos.
Tessa : Oui. Mais ce n'est pas contre toi, ni même des sentiments que j'ai pour toi. Se redresse-t-elle pour me regarder droit dans les yeux.
Moi : Je ne doute pas de toi.
Un petit moment de silence s'installe entre nous, il n'a rien de gênant, c'est même reposant.
Moi : Je suis là, si tu veux en parler.
Tessa : Je sais, il me faut juste ... un peu de temps. M'explique-t-elle.
Moi : D'accord, je ne te brusque pas.Je me sépare d'elle avant de reprendre.Je vais prendre une douche, ok ? Je n'en ai pas pour longtemps. Repose-toi en attendant. Je reviens vite.
Pendant mon explication, je lui allume la télé, lui donne la télécommande, lui embrasse le front avant de disparaitre sous la douche.
