Ce fut en une belle journée ensoleillée que les cloches de l'église tintèrent en rythme. Les portes de cette dernière s'ouvrirent sur deux jeunes gens, habillés de blanc. Des pétales de fleurs jetés par les enfants leurs tombèrent sur la tête et ils saluèrent les gens.
Jack tenait la main d'Elsa et ils marchèrent côtes à côtes sous une pluie de pétales de fleurs. Le prince prit son épouse par la taille et la souleva pour la faire tournoyer dans les airs. Quand il la dit redescendre, il l'embrassa passionnément.
Depuis la fin de la guerre, Nottingham retrouva son éclat. Le roi Jacob avait tout remis en ordre. Son frère a été envoyé dans un lieu où il ne pourrait plus faire de mal à qui que ce soit. L'ancien roi — redevenu prince — vivait aux dépends de son frère aîné, vivant dans un lieu reculé.
Persifleur, quand à lui, atterri en prison pour toutes ses fourberies. Il fut condamné à une peine de prison à perpétuité. Plus jamais il ne manipulerait qui que ce soit. Le roi l'avait remplacé par quelqu'un de confiance.
Sa dette envers Shyperia fut payée au bout d'un an et les deux royaumes finirent par signer un traité de paix. Plus de confrontation. Plus de guerre.
Vous vous demandez sûrement si Elsa a abandonné sa boutique. Eh bien non. L'aînée des Arendelle céda sa boutique à sa jeune sœur. Et ne voulant pas devenir une plante verte au palais, elle décida d'ouvrir une école de cordonnerie. Son projet fut soutenu par son époux.
Le lendemain du mariage, tout le monde avait reprit ses bonnes vieilles habitudes. Mais quelque chose avait changé. Il n'y avait plus un seul mendiant dans les rues de Nottingham. Le roi offrit du travail à tous ceux qui en cherchait.
La clochette de la pâtisserie d'Eugène sonna, laissant entrer Mérida. Un petit garçon d'un an et quelques mois couru vers elle pour serrer sa jambe.
-Mais qu'il est fort, le petit garçon! Dit-elle alors que Raiponce arriva.
-Flynn, laisse-la un peu. Ordonna-t-elle à son fils.
La blonde prit son fils dans ses bras avant de reporter son attention sur la rousse.
-Bonjour Mérida. Comment puis-je t'aider?
-C'est notre anniversaire de mariage aujourd'hui. Et j'avais complètement oublié! Si ma mère n'avait pas été pas là, je ne sais pas ce que j'aurai fait.
-Oula. Donc, j'imagine que tu veux un gâteau.
-S'il-te-plaît. Pas trop grand non plus.
-C'est d'accord.
Raiponce emballa le gâteau et le donna à Mérida. Cette dernière la remercia avant de rentrer chez elle, alors que le soleil se couchait. Elle était sortie de son travail plus tôt pour faire la surprise à Harold. Et il fut surpris quand il la vit à la maison bien avant lui.
-Pourquoi es-tu rentrée sans moi? On aurait pu y aller ensemble.
Mérida lui tendit alors le gâteau, ce qui le fit sourire.
-Joyeux anniversaire de mariage. J'ai acheté un gâteau pour l'occasion.
-Merci mon amour. Dit-il en s'approchant d'elle et en lui prenant le gâteau des mains pour le déposer sur la table.
Il fit glisser ses mains sur la taille de Mérida et enfoui son visage dans son cou.
-Mais ce n'est pas le gâteau qui me fait le plus envie.
La rousse se mordit la lèvre inférieure quand elle sentit les baisers d'Harold dans son cou.
-De quoi as-tu envie alors?
-De toi. Marmonna-t-il.
Il remonta ses lèvres vers celles de Mérida et l'embrassa langoureusement. La rousse enroula ses bras autour de la nuque d'Harold et se colla à lui. Le shérif arrêta de l'embrasser pour la prendre dans ses bras en mettant un bras dans son dos et un autre sous ses genoux.
Il monta les escaliers et ouvrit la porte de la première chambre qui se trouvait sur le chemin. Quand il eut refermé la porte, Mérida descendit de ses bras et déboutonna sa veste. Quand il fut torse nu, il entreprit de faire des suçons sur le cou de la rousse. Mérida lâcha des soupirs de plaisir. En même temps, il défit les lacets de son corset et baissa lentement la robe.
Il avança, ce qui fit reculer Mérida. Il l'allongea délicatement sur le lit et l'embrassa passionnément. D'une main, un prit son sein droit et fit des cercles autour du mamelon. Sa main glissa alors jusqu'à la culotte de Mérida et il la retira. La rousse était totalement incapable de bouger, souhaitant qu'il la prenne.
Harold déposa des baisers sur son ventre et mit ses mains sur ses genoux. Il écarta ses jambes et caressa ses cuisses. Ses lèvres se posèrent près du genoux pour entreprendre une descente jusqu'à son intimité. Mérida sentait monter en elle le même feu qu'à chaque fois. Et ce feu grandissait toujours à chaque fois.
Harold lui écarta encore plus les jambes pour avoir une meilleure vue sur elle. Il caressa son clitoris de son pouce et Mérida haletait. Quand il fit entrer deux doigts dans son vagin, elle se cambra et tenta de ne pas jouir. Il lui fit des va-et-viens et elle se mordit la lèvre inférieure. Les draps étaient froissés, agrippés par les mains de la rousse, totalement excitée.
Quand il retira ses doigts, il rapprocha sa bouche. Il posa délicatement ses lèvres sur La fleur de Mérida, ce qui la fit fermer ses cuisses. Mais Harold gardait ses mains sur ses cuisses pour l'empêcher de se fermer. Puis, il embrassa passionnément son intimité, ce qui fit haleter la rousse.
Un coup de langue fit trembler les jambes de Mérida. La bouche d'Harold suçait le fleur bien mouillée. Il fit entrer sa langue dans son vagin et le lècha. Quand il eut fini, il se positionna sur elle et elle défit sensuellement sa ceinture. Le pantalon n'était plus et Harold la pénétra.
Les va-et-viens furent rapides et Mérida haletait encore et encore. C'était l'apogée du plaisir. Tous des deux se mirent à jouir et avant qu'Harold n'éjacule, la rousse inversa les rôles. Elle poussa sur son torse pour le plaquer sur le matelas.
Elle l'embrassa langoureusement et fit glisser sa main pour saisir fermement le sexe d'Harold. Ce dernier grogna entre ses lèvres. Mérida se mit à califourchon sur lui et enfonça son pénis en elle-même. Elle fit onduler son bassin contre celui d'Harold et ce dernier joui. Il ne tarda pas à éjaculer et le liquide se déversa en Mérida. Elle aussi ne pu se soustraire à jouir.
La rousse s'écroula de fatigue sur le torse d'Harold et il enroula ses bras autour d'elle.
-Joyeux anniversaire, Harold.
-joyeux anniversaire, Mérida.
FIN
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Robin des bois
FanfictionDe jour, couturière, de nuit, justicière. Elle est prête à faire n'importe quoi pour son village. Inspirée d'un conte pour enfants, Mérida est bien décidée à changer les choses. Elle prend donc le pseudonyme de ce héro de conte qui vole aux riches p...