CHAPITRE 18

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Je venais de rentrer chez moi et ma mère était entrain de faire un récapitulatif de ce que le professeur de français a dit. J'étais debout en face d'eux et mon père s'apprêtait à me faire la morale.

— T'es majeur Éloïse, t'es plus une gamine sérieux, me parla mon père en me regardant dans les yeux. Comment tu peux te permettre de leur parler comme ça, même si tu ne les aimes pas ?

— Je suis toujours la cible.

— Alors comporte-toi comme une bonne élève et arrête de faire n'importe quoi et mets-toi au travail. Faut qu'on te frappe pour que tu comprennes ?

Je secouai ma tête.

— Et aussi, il m'a parlé de Jaliss, intervient ma maman. Comme quoi ça n'allait pas trop en classe, ect...

— Ah bon ?

Mon père était surpris.

— Puis, même le proviseur m'a appelé ce matin pour me dire la même chose-

— Jaliss ? L'appela mon père en élevant la voix du salon. Jaliss ?

— Attends mais je n'ai même pas finis de parler, l'arrêta ma géniteur.

— Eloïse va voir ce qu'elle fait et dit lui de descendre.

Je montai les escaliers pour aller à l'étage puis je marchais jusqu'à la chambre de ma petite-soeur. Je toquais une première fois et je l'appelai. Rien.

Puis, j'ouvris la porte tout doucement car elle devait sûrement dormir. Mais quand je regardai l'intérieur de sa chambre mon cœur commençait à battre tellement fort et je restai sans voix.

Je vis ma petite-soeur, affalé sur le sol de la pièce, inconsciente, ses cheveux étaient mouillés et son t-shirt aussi. La panique totale.

— Maman ! L'appelai-je en panique.




































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ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant