CHAPITRE 65

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Vrrrr...vrrr..vrrr..

J'étais entrain de faire une sieste, j'étais entrain de faire ma meilleure sieste quand mon téléphone se mit à sonner. Je râlais avant de faire passer ma main à l'extérieur de ma couette, attraper mon téléphone, répondre et le coller à mon oreille.

— Oui ?

— Allô ? Parla une voix grave.

Je soufflai et me passa une main sur mon visage.

— C'est qui là..? Demandai-je d'une voix fatiguée.

— C'est...Eren, il se racla la gorge, je t'ai dérangé ?

Quand j'ai entendu que c'était son prénom, je me suis souvenu de ce qu'il m'avait dit par message et notre dispute. Je me souviens des mots qu'il a dit et que nous sommes en froid.

— Baahh.., j'étais entrain dormir.., répondis-je en baillant, qu'est-ce qu'il y a ?

— Tu me manques beaucoup, entendis-je à l'autre bout du fil. Et je suis désolée pour ce que je t'ai dis l'autre jour par message, je le pensais pas.

Oh tu veux parler de ça..

— Je déteste être en froid avec toi comme ça.

— Mais c'est de ta faute, lui dis-je en fronçant mes sourcils, depuis un moment tu me regardes comme si j'étais la méchante dans toute l'histoire alors que tu sais très bien pourquoi je le fais.

— Je sais et je voulais m'excuser. Je veux vraiment pas qu'on reste en froid, même si on ne doit plus se fréquenter pendant un moment, m'avoua-t-il d'un voix calme et insistance. Juste ça au moins, pardonne-moi.

— Moi non plus je ne veux pas rester en froid avec toi, vraiment pas. Mais je trouve que tu l'as cherché.

— Tu pourras faire ce que tu veux et continuer à faire semblant, okay. Mais pardonne-moi, je t'en supplie Éloïse. Je t'aime beaucoup et je ne veux plus que ça fasse comme la dernière fois.

Un silence s'installa dans l'appel. Il avait raison, moi non plus je ne veux pas que ça fasse comme la dernière fois où nous sommes rester en froid pendant plusieurs semaines. Ça lui avait vraiment fais mal de ne plus me parler et à moi aussi.

Et puis je l'aime Eren, je l'aime énormément et  je veux toujours être là pour lui, peu importe ce qu'il se passe.

Okay, je te pardonne, tu as raison, finis-je par lui dire en soupirant. Mais on se promets un truc.

— Dis-moi ?

— Même si on est séparé Eren.., et qu'on a besoin l'un de l'autre pour un truc, lui expliquai-je en baillant discrètement. Vraiment urgent et important, on doit venir en aide à l'autre.

ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant