erenjeager x femoc!
Mhar 2017.
Alors que tout le monde avait finis de rédigé le travaille demander par le professeur de français, des poèmes. Tout le monde lut leurs poèmes à haute voix devant toute la classe, chacun avait un thème différent quand É...
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J'étais entrain de faire les cents pas dans toutes ma chambre, je réfléchissais et en même temps j'étais extrêmement nerveuse.
Pourquoi ? Je m'apprêtais à dire à mon mère que je sortais avec quelqu'un et que cette personne m'a proposé d'habiter avec elle. Je vais devoir dire son prénom et j'ai vraiment peur.
J'ai beaucoup réfléchi avant de prendre cette décision, et j'ai enfin pris ma décision d'accepter. Mais ça veut dire aussi, que je vais devoir le présenter à mes parents, que ma famille rencontre la sienne.
Je vais quitter mes parents, ma petite-sœur et je vais aller vivre avec. Oh purée.
Faut que je prenne une grande inspiration, que je marches tranquillement dans le couloir, je descends les escaliers doucement et j'affrontes mon père.
J'exécute tous ça. Mon cœur battait à la chamade.
Je trouvais mon père assis sur la table à manger avec un grand piano sur la table, une longue règle, un critérium, et ces lunettes de vue. Il est en plein travail.
— Papa ?
— Deux secondes ma fille, je travaille là.
Il était sencé dire, oui ? Maintenant je stresse encore plus. J'entendis le bruit du critérium qui trace un trait.
— Euh.., si je te dis que-
— Deux secondes Éloïse, je suis occupé, me redit-il. Putain mais comment il veut poser sa table à manger ici alors que...olala..., se parla le noiraud.
Je suppose qu'il est entrain d'essayer d'aménager un plan, comme d'habitude. J'attendais là, les mains derrière mon dos, le regardant travailler.
Mon père traçant des traits par ci et par là, le plus précis possible.
Il se décide à me regarder avec ses lunettes de vues. Il les enleva en se passant une main des les cheveux.
— Tu voulais me dire quoi ? Me demanda Ramiro en me regardant.
— Déjà avant, promets moi que tu vas pas t'énerver contre moi, lui dis-je en croisant mes bras contre ma poitrine.
— Pourquoi ?
Il ria avec sa voix grave.
— Papa, ce n'est pas drôle, c'est super important, lui dis-je en le regardant se retenir de rire par la suite.
