CHAPITRE 26

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Aujourd'hui, nous étions dimanche et je devais me rendre chez Reiner pour dîner avec lui comme promis. J'étais dans l'ascenseur propre de son appartement et j'observai ma tenue. Je ne sais pas trop si ma tenue est bien. Je portais une chemise blanche que j'avais rentrer dans mon jean gris qui tombait bien, sur mes chaussures blanches. Je portais par dessus une veste longue verte clair et mon sac noir.

J'avais mis le parfum à la vanille qui a très bien tenue.

Arriver à l'étage, les portes de l'ascenseur s'ouvre et je sortis pour aller jusqu'à la porte de son appartement. Je me tiens devant la porte noir avec écrit son nom de famille. J'appuie sur la sonnette de la porte et je patiente.
J'étais un peu stressé parce que je ne sais pas ce qu'il a préparé mais j'espère que ça me conviendra.

Reiner a toujours été attentionné, doux, protecteur, polie, bienveillant envers moi. Et ça va être important pour lui que je sois à l'aise parce que sinon, ça va être le silence totale.

Je vis la porte s'ouvrir pour laisser apparaître Reiner, vêtue d'un pantalon noir et d'un pull blanc. Je lui souris d'abord avant de le saluer.

Salut, je t'en pris entre, il se décala pour me laisser entrer.

J'entre chez lui et il referma la porte derrière moi.

J'aime bien ta tenue, me dit le blond. Donne-moi ta veste et ton sac, fais comme chez toi.

Merci, le remerciai-je tendis qu'il enlève ma veste pour l'accrocher au porte manteau.

Je posai mon sac sur le meuble d'entrée et je pénètre dans son salon. Je reconnais bien le métier de Reiner dans sa décoration, c'est minimaliste et moderne en même temps. Le blanc, le beige et le vert dominent vraiment la salle de séjour. Je m'avançais à sa table à manger et je remarquai que c'était plutôt beau.

Il y avait deux sous plats rond et noir, deux assiettes blanches carrés et des couverts enveloppés par du papier essuie tout. Deux verres à vins étaient posés sur la table. Des fausses tulipes blanche étaient dans un vase transparent, au milieu de la table. Je m'installai sur la chaise grise quand je l'entendis arriver.

ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant