CHAPITRE 73

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C'est les vacances.

Des vacances que je vais passée sans téléphone, sans amis, sans sortir, sans Eren, en restant cloitrer dans ma chambre, à m'ennuyer comme toujours. La seul chose que je peux faire, c'est dormir ou dessiner sinon je m'ennuie.

Comme là, par exemple, je suis dans ma chambre à observer le plafond.

C'est fatiguant de faire tout le temps les mêmes activités. Même pas un peu de divertissement.

Ou peut-être que si.

— Éloïse ! Descends je dois te parler ! M'appella la voix de mon père.

Je me levai de mon lit, et je m'étire un peu. Je sortis de ma chambre et je marchais dans le couloirs. Je dévalai les escaliers pour atterrir dans le salon.

Là, j'y trouvais mon père.

— Oui ?

— Je vais te laisser une dernière chance Éloïse, commença mon geniteur e. me regardant droit dans les yeux, pour me dire qui est le pr–

— Oh non, pitié, soupirai-je en mettant mes mains sur mon visage.

J'avais pas envie de parler de ça.

— Ne me parle pas de ça, j'enlève les mains de mon visage.

— Oh que si, rétorqua-t-il. Et là par contre, t'as intérêt à parler. Si tu ne me le dis pas–

— J'ai 18 ans, c'est bon, je suis grande pour faire ce qu'il plaît.

— Parce que ça te plaît ça ? Dit-il d'un ton haut et dure. Tu t'entends ?

— Excuse-moi mais c'est ma vie privée pas la tienne, répondis-je avec insolence. Donc non, je ne dirais pas qui est cet personne. Désolé pour toi.

Je voulais remonter en haut mais il me retient.

— Tu restes ici, il me regarda droit dans les yeux. Je n'ai pas terminé.

Je posais mes mains sur mes hanches.

— J'aime pas du tout les manières que tu prends et ton insolence Éloïse. Et tu sais très bien comment je suis alors ne pousse pas le bouchon trop loin, me prévien Ramiro.

— Mais j'ai rien fais, c'est toi qui fait que de mettre mon nez dans mes affaire–

Et là, il me hurle dessus que j'en ai eu peur, et que mon cœur allait sortir de ma poitrine.

ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant