CHAPITRE 33

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Insulté ma petite-soeur devant moi, d'autant plus qu'elle défend sa soeur qui n'est même pas défendable.

Jamais.

D'un coup, par derrière, ma main aggripa le devant de ses cheveux noirs et je les tire en arrière avec force et rage. Elle faillit tomber. Le chahut commence mais je m'en fichais. Ma main lui frappa au visage plusieurs fois avant qu'elle me prenne par le cou. En deux temps, trois mouvement, je lui donne un coup violent au ventre et je la plaque au sol avec brutalité.

Je me mis au dessus d'elle et je lui donne une claque. Solana tentait de se relever mais je lui donnais des coups. J'écoutais plus rien, j'entendais plus rien et la scène de ma soeur qui pleurait, et ses griffures profondes sur ses avant-bras.., me revenait en tête.

Elles ont recommencés....

Je donnais toujours plus de coups avec mes poings.

...loïse..!

Je suis désolée..

Je voyais Sabrina essayer de se défendre en se protégeant avec ses deux bras. Alors je frappais plus fort, je voulais qu'elle est mal. J'étais ronger par la haine et la tristesse et c'était tout embrouillé et je ne savais plus ce que je savais.

Éloïse ! C'est bon ! Arrête maintenant !

Va te faire foutre, sale merde ! L'insultai-je avant que l'on m'éloigne d'elle.

Je me relève et je vis un des surveillant entre nous.

Jean, tu l'enmenes chez son prof principale et vous tous, vous circulez ! Dépêchez-vous !

J'avais ouvert le nez de Solana et elle saignait de la lèvre. J'avais ouvert un peu de sa pomette gauche. J'essayai de reprendre mon calme et ma respiration, je sentis un larme dévalé de ma joue. Jean se plaça devant moi et essayait de me ramener au calme. Les élèves s'éloignèrent petit à petit.

Tout va bien ? Reprends ton calme, me dit Jean d'un ton calme.

Je regardais le dos de mes mains, j'avais quelques grattinures et l'endroit avec lequel je l'ai frappé était rouge. J'étais fatiguée, je voulais rentrer à la maison...

Vien, on s'en va.

Jean, calmement, me prit par le bras et m'enmena avec lui. Je le suis sans dire un mot et tout le brouhaha commence à s'éloigner de nous.

Je dois t'emmener chez Yeager, tu vas devoir rester avec lui le temp que le proviseur revienne de sa réunion, m'explique ce dernier avant que nous tournons à gauche pour prendre l'escalier.

ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant