CHAPITRE 112

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Je rentrai chez moi, je posai directement les clés de ma voiture sur le meuble le d'entrée, j'enlève mes chaussures et je fus accueillis par mon petit chien blanc qui aboie. Il vien jusqu'à moi, me regardant.

Je descendis la marche, je posai les sacs que j'avais dans la main puis j'appelle Éloïse depuis le salon.

— Éloïse ?

Aucune réponse. Cette dernière m'avait appelé en détresse, avec une voix faible et blanche. Je pouvais directement en déduire qu'elle était entrain de pleuré.

Je montai donc les escaliers pour arriver à l'étage. Je marchai jusqu'au bout du couloir pour aller dans ma chambre qui était entre ouverte. Je poussais la porte et elle n'était pas là.

Je regardai dans l'autre chambre, aucune trace d'elle. La seul pièce qu'il restait était la salle de bain. Je m'approchai donc de celle-ci et quand je voulus ouvrir la porte, elle était fermée à clé.

Je frappai donc à la porte.

— Éloïse. Ouvre la porte s'il te plaît, lui parlai-je d'un ton calme.

J'espère qu'elle n'est pas resté dans la salle de bain depuis longtemps. J'entendis des pas qui traînaient sur le sol. La porte s'ouvre et la noiraud aux cheveux courts sortit de la pièce.

Quand je vis son visage, ça se voyait qu'elle était vraiment mal. Son visage était humide, son teint est devenu pâle.

— Ça va ?

Je sais même pourquoi je demande alors que je connaissais la réponse. Elle secoua lentement sa tete pour me faire comprendre que non. Je la pris alors dans mes bras.

— Vien t'allonger, tu en as besoin, je l'emmène donc jusqu'à ma chambre.

Une fois dans ma chambre, je la laisse s'asseoir tranquillement sur la chaise. Éloïse se glissa sous mon plaid. Je retirai mon t-shirt pour rester en débardeur, je m'assois sur mon lit.

Je posais le dos de ma main sur son front, sur son cou et sur sa joue pour prendre sa température. Ma mère me faisait tout le temps ça quand j'étais malade.

Elle était chaude.

Tu peux ouvrir la fenêtre..?

Étant donné que le temps devenait peu gris, malgrés qu'il ait du soleil, elle pense qu'il doit y avoir du vent. Mais ce n'est que du vent chaud.

— Il n'y a que du vent chaud dehors, lui expliquai-je en regardant dehors, ouvrir la fenêtre ne servira à rien.

ᴛʜᴇ ʙᴏᴛᴛʟᴇ ɪɴ ᴛʜᴇ sᴇᴀ | 𝘦𝘳𝘦𝘯.𝘫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant