erenjeager x femoc!
Mhar 2017.
Alors que tout le monde avait finis de rédigé le travaille demander par le professeur de français, des poèmes. Tout le monde lut leurs poèmes à haute voix devant toute la classe, chacun avait un thème différent quand É...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
J'étais partis au casier de Mikasa pour aller lui chercher ses affaires car elle devait déposer quelques choses au secrétariat. Je marchais dans le couloir, quelques élèves circulaient d'un couloir à un autre et j'avais une heure de trou alors bon. Que faire ?
Déjà que je ne fais que penser à ma petite-soeur, mon coup à marcher. J'avais toujours autant peur pour elle, j'y pense tout le temp et j'ai juste envie de frapper cette enfant. Mais je me retiens bien, au moins jusqu'à cette après-midi. Arriver devant le casier blanc qui appartenait à mon amie, j'inserai ses clés dedans puis j'ouvris.
Quelques choses inonde mes pensées aussi, Reiner. J'ai l'impression qu'il est tout le temp entrain de m'observer. Même là, j'ai l'impression qu'on m'observe. Alors, je me dépêche de prendre les cahiers demander par Mikasa pour ne plus avoir cette sensation stressante.
Je pris un cahier blanc et un cahier vert. Puis, je porte ses cahiers de ma main gauche puis de ma main droite, je ferme le casier. Mon regard se tourna vers une personne dans le coin du casier, les bras croisés et je sursaute en poussant un cri de stupeur.
— Putain, espèce de psychopathe ! Soufflai-je en le regardant mal. Tu pourrais au moins me saluer aulieu de m'observer en silence.
— Faut bien que je t'observe pour surveiller tes faits et gestes, répondit le blond en se decolant du mur. Et puis, je ne peux pas me passer de toi. C'est pas ma faute.
— Tss, n'importe quoi, je hausse mes sourcils avant de détourner le regard. On ne fait pas cela à quelqu'un que l'on aime.
— Ça ?
Il faisait comme si il ne savait rien. Je le regardai d'un air sérieux puis je décide de lâcher l'affaire en soupirant.
— Je dois partir, Mikasa m'attend, lui dis-je en tournant mes talons.
— Je t'aime Éloïse, dit-il une fois que j'ai le dos tourné.
Je marchais en direction de la salle de permanence, loin de lui.
J'ai tout le temps l'impression qu'il me regarde et ça me rend mal à l'aise. Pour vu que ce cauchemar se finisse vite, parce que ça va faire trois semaines que ça dure.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
