erenjeager x femoc!
Mhar 2017.
Alors que tout le monde avait finis de rédigé le travaille demander par le professeur de français, des poèmes. Tout le monde lut leurs poèmes à haute voix devant toute la classe, chacun avait un thème différent quand É...
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Eren était entrain de ranger toutes les affaires qu'il avait laissé traîner avant de partir. Je venais de mettre en une tenue plus comfrotable, je portais un short rouge et un t-shirt noir. Je le regardai faire ce qu'il faisait.
Depuis le trajet jusqu'à ici, c'était très tendu. Il n'a pas parlé une seule fois et son regard était mélangé entre la colère, la tristesse, la déception, je sais pas trop.
J'avais besoin de lui en parler, de ce qu'il s'est passé là-bas. Je n'aime pas le voir comme ça, il s'est très bien qu'il peut tout me dire.
— Qu'est-ce qu'il y a Éloïse ? T'as besoin d'un truc ?
Ce dernier se tourna vers moi, me regardant avec ce même regard.
— Tu es sûre que tu n'as pas quelque chose à me dire ? Lui demandai-je d'un ton calme et détendu.
— Euh non..? Je ne pense pas, me répondit Eren en secouant doucement sa tête. Quoi ?
— Je ne sais pas, à toi de me le dire.
Silence radio. Je décide donc de ne pas passer par quatres chemins et de lui parler directement de ce que j'ai entendu.
— J'aientendu de ce que t'as dis à Ébène, votre discussion, je regardai pendant un moment mes ongles. Et franchement, j'ai pas compris..j'ai pas compris pourquoi tu ne m'as rien dis Eren.
Voyant qu'il ne répondit pas toute suite, je levai mes yeux vers lui.
— Ça n'a pas d'importance, c'est...oublie.
Le brun se tourna, me fuyant. Il fuyait la discussion aussi. Celui-ci faisait semblant de fouiller quelques choses.
—Je me faisais carrément lyncher, juger par elles, soupirai-je en posant un main sur ma taille. Et tu me dis que ça n'a pas d'importance ?
Il fait le sourd d'oreille, ce qui commence à m'agacer. Nous parlons quand même d'un problème grave mais j'avais de la peine pour lui alors je gardais mon sang froid.
— Eren.
— Quoi !
Son ton s'élevait sur moi, ses sourcils étaient froncés. Cette fois-ci, il me fait face et se retourna comme si il était à bout. Ses yeux verts émeraudes me regardaient fixement.
— C'est bon c'est terminé, on est parti là ! Nous sommes plus chez eux donc on n'en parle plus ! Décida ce dernier d'un ton méchant.
Attends mais il se fout de moi ? Il se permet de me hurler dessus alors que quand je me faisais critiquer, il était présent. Il entendait et savait ce qu'elle disait pourtant ça ne l'a pas empêcher de ne pas prendre ma défense.
