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Vendredi 30 Septembre 2016, Paris.

PDV KEN.

On était juste putain de bien la. Sa tête posé sur mon épaule comme à son habitude, et ma tête contre la sienne.
Je n'avais pas pu m'empêcher de garder un œil sur elle toute la soirée, pourquoi, j'en est aucune idée.

- Ta bu combien de verres ?

- Pourquoi ? Dis je en fronçant les sourcils.

- Bah pour savoir si on rentre ou pas, si tes capable de marcher.

- Je te remercie, je ne suis pas un déchet à se point la Nélia. J'ai bu autant de verres que toi, donc non NOUS ne somme pas en état de rentré.

- Ha et on dort ou ? Je me lève doucement et lui tend ma main.

- Viens. Elle attrapa ma main et se leva à son tour. Je la tire contre moi et embrasse c'est lèvres. Putain ce que j'aime l'embrasser. Je pouvais la sentir sourire contre mes lèvres à se contact.
On se sépara quelques minutes plus tard par manque de souffle et on traversa le salon puis le couloir à la recherche d'une chambre libre pour dormir. Une fois celles-ci trouvé, j'ouvre la porte et la fait rentrée à l'intérieur. Elle se dirige vers le lit en essayant de ne pas tomber étant donner qu'elle ne marcher pas droit et se laissa tomber sur celui-ci. Je part m'assoire à côté d'elle et lui caresse les cheveux.

- Qui t'a dit que je voulais dormir avec toi ?

- Tu veux te faire violer ?

- Tes dans l'abus.

- Toujours.

- Autant les gens c'est pas moi qu'ils veulent violer c'est toi.

- Tes vraiment défoncé.

- Comme jamais. Dit elle en ricanant.
Je m'allonge finalement à côté d'elle et continue de caresser ces cheveux.

- Je t'aime bien tu sais.

- Moi aussi je t'aime bien Nélia. Je déposa un baiser sur son front et la serra contre moi. C'est bien quand elle est défoncé elle parle plus facilement. Et puis demain elle se souviendra sûrement de rien.

- Tu veux dormir ?

- Dormir, non. Je mis quelques instants à comprendre ce qu'elle voulait me dire, jusqu'à ce qu'elle se dégage de mon emprise pour se redresser et passer ses jambes par dessus mon bassin pour s'assoir sur celui-ci.

- Nélia, qu'est-ce tu fait ?
Je joue l'indifférence​, mais je veux pas qu'elle pense que je profite d'elle par-ce-que elle est bourré.

- À ton avis ? Me fait pas croire que t'en a pas envie.

- C'est pas sa c'est que.. Elle ne me laissa pas le temps de finir ma phrase qu'elle m'embrassa langoureusement.
Si elle croyait qu'elle ne me donnait jamais envie, c'était faux, maquiller ou pas, coiffer ou pas, habiller ou en pyjama, c'était impossible pour moi de ne pas avoir envie d'elle.
Je lui rendis bien évidemment son baiser laissant mes mains descendre sur c'est magnifique hanches. Je fini par me redresser pour me retrouver assis, toujours Nélia assise sur moi.
Elle se décolle de moi quelques instants pour reprendre sa respiration, c'est mains se balader dans ma nuque, tandis que les miennes était toujours sur ces hanches. Sa bouche retrouve vite la mienne, lui laissant accès à ma langue.

- Ha ouais vous êtes comme sa vous.
Hein ? Nélia se retire de moi en entendant cette voix, laissent apparaître Antoine devant nous.

- Quoi ? Oui c'est tous se que j'avais trouver à dire.

- "Ouais il se passe rien entre nous" et deux heures après je vous retrouve à échanger votre salive en scred dans une chambre, bah bravo. Dit il en se foutant de notre gueule.

- Non mais..

- T'inquiète je dirais rien frère.
J'hoche la tête en remerciement et il pose c'est yeux sur Nélia qui passe sa langue sur ces lèvres nerveusement.

- Et pose tes yeux autre part que sur ces jambes frère.
Il leva les yeux au ciel en secouant la tête et sorti de la chambre.
Nélia se laissa tomber sur le matelas soufflant.

- Allez beauté, on va vraiment dormir cette fois ci.
Je l'aida à se redresser et a se lever pour la déshabiller. Je fis passer sa robe par dessus ces épaules, dévoilant son corps en sous-vêtements, elle était magnifique. Je retira l'on tee-shirt et lui fis enfiler pour dormir. Une fois cela fait elle se mis dans le lit tandis que j'enlève mes chaussures et mon jean.
Je m'allonge sous les draps à côté d'elle et lui ouvre mes bras pour qu'elle vienne caler sa tête contre mon torse, se qu'elle fis en à peine quelques secondes.

Samedi 1 Octobre 2016, Paris.

PDV NÉLIA.

Quand j'ouvri les yeux, il était la, à côté de moi, des images me revienne en tête, la scène ou je lui dit que je l'aime bien, moi sur lui, le baiser, Antoine qui rentre dans la chambre. Rien d'autre.
Ken avait un bras sur ma hanche qui me tenait coller à lui sur son torse. Je m'étais pris une bonne cuite hier soir, un peu comme tous le monde il me semble, sauf Moh évidement. J'essayais de me dégager de l'emprise de Ken depuis quelques minutes déjà, mais impossible.

- Tu reste la.

- Ken faut que.. Et c'est à se moment là que des haut le corps me prirent ce qui fis ouvrir les yeux à Ken. Il dégage son emprise de moi tandis que je me levais et courait le plus vite possible dans le couloir à la recherche des toilettes, une fois trouvé je me penche au dessus de celui-ci, et vomis. Après quelques secondes je sentis quelqu'un me tenir les cheveux. Je me redressa et me laissa tomber par terre.

- Ça va mieux ?
Je tourne la tête vers Antoine et hoche la tête.

- Vas falloir arrêter de tiser comme sa si tu tiens pas.

- Je te jure, que c'est la première fois que je vomis un lendemain de cuite. Sa m'étais jamais arriver. Juste après que j'aille dis cette phrase Ken arriva les cheveux en bataille, et les yeux mis-clos.

- Wesh beauté il se passe quoi ?

- Il se passe que ta princesse a la gueule de bois.
Ken m'aide à me relever et déposa un baiser sur mon front.

- Va t'habiller j'arrive.
Je baissa la tête et regarda ma tenue, en effet je ne portais que son tee-shirt.
Je me dirigeais donc vers la chambre et me rhabille en vitesse mais je me rassis vite sur le lit en sentant ma tête tourné et ces à ce moment là que Ken entra dans la chambre.

- Ca va pas ? Il s'assoie à côté de moi et me relève la tête avec son doigt.

- Je veux rentré Ken je suis pas bien du tout la. Dis je au bord des larmes.

- Hey miss ça va aller on va rentrer. D'accord ? Il me pris dans ces bras et me plaqua contre son torse.
En réalité, cette épisode dans les toilettes m'avait fait me souvenir du matin où on m'avait annoncé la mort de Nathan, un mec de ma bande du lycée, à cause d'un coma éthylique, j'avais vomis aussi, pour recracher tout l'alcool que j'avais dans le sang, et sa avait était la seul fois.

F. E. UOù les histoires vivent. Découvrez maintenant